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Entre envolée lyrique et puissance rythmique massive, nÄo joue habilement sur notre côté clair et obscur, nous invitant à une odyssée electro-rock au plus profond de nos âmes.
Pour les irréductibles qui ne connaîtraient toujours pas nÄo, l’aventure commence il y a de ça une dizaine d’années lorsque Pierre-André décide de fonder l’entité nÄo, en 2002.
Fort de nombreux projets personnels et de collaborations come le projet AudioUnit avec Peuh !, la recomposition de la musique du film Metropolis de Fritz LANG (1927), la création musicale «(R) Evolution» avec Marine Thibault – aka Cat’s Eyes & ex flûtiste de Wax Tailor -ce boulimique de travail s’adjoint les services de Thibaut (batterie), Jordan (guitare) et Matthieu (Vjing) afin de fonder cette nouvelle chimère électro-rock, début 2010.
Découverte franc-comtoise du Printemps de Bourges en 2010, le groupe connaît ainsi une ascension fulgurante, allant jusque signer son dernier album, éponyme, sur le mythique label allemand Ant Zen (Black Lung, Synapscape, Converter, …) et se produire aux quatre coins de l’hexagone et en Allemagne (Maschinenfest, Riddim Collision, festival Impetus, Elektroanschlag, le Hierock Sound, le Tryptique, festival Seconde Nature, Eurockéennes …).
III, est d’autant plus multifacettes qu’il est marqué du sceau numérique de la trinité. Troisième album du trio, et pour autant le premier à avoir été composé véritablement à trois, cet opus est un lien fort entre filiation et rupture.
Évolution logique du groupe et de son univers, on y retrouve en effet les influences musicales déjà assumées des Nine Inch Nails ou 65daysofstatic, autant que celles – cinématographiques – des films sombres et froids de réalisateurs comme Darren Aronofsky.
...Entre envolée lyrique et puissance rythmique massive, nÄo joue habilement sur notre côté clair et obscur, nous invitant à une odyssée electro-rock au plus profond de nos âmes.
Pour les irréductibles qui ne connaîtraient toujours pas nÄo, l’aventure commence il y a de ça une dizaine d’années lorsque Pierre-André décide de fonder l’entité nÄo, en 2002.
Fort de nombreux projets personnels et de collaborations come le projet AudioUnit avec Peuh !, la recomposition de la musique du film Metropolis de Fritz LANG (1927), la création musicale «(R) Evolution» avec Marine Thibault – aka Cat’s Eyes & ex flûtiste de Wax Tailor -ce boulimique de travail s’adjoint les services de Thibaut (batterie), Jordan (guitare) et Matthieu (Vjing) afin de fonder cette nouvelle chimère électro-rock, début 2010.
Découverte franc-comtoise du Printemps de Bourges en 2010, le groupe connaît ainsi une ascension fulgurante, allant jusque signer son dernier album, éponyme, sur le mythique label allemand Ant Zen (Black Lung, Synapscape, Converter, …) et se produire aux quatre coins de l’hexagone et en Allemagne (Maschinenfest, Riddim Collision, festival Impetus, Elektroanschlag, le Hierock Sound, le Tryptique, festival Seconde Nature, Eurockéennes …).
III, est d’autant plus multifacettes qu’il est marqué du sceau numérique de la trinité. Troisième album du trio, et pour autant le premier à avoir été composé véritablement à trois, cet opus est un lien fort entre filiation et rupture.
Évolution logique du groupe et de son univers, on y retrouve en effet les influences musicales déjà assumées des Nine Inch Nails ou 65daysofstatic, autant que celles – cinématographiques – des films sombres et froids de réalisateurs comme Darren Aronofsky.
Le son de ce troisième album se niche entre l’organique et le digital, entre cristal et charbon : les volutes des notes électroniques, claires et légères dansent au-dessus des puissances minérales et vibratoires des guitares saturées hurlant sous les coups féroces de la batterie. Composé en espace clos, contrairement au précédent qui avait vécu à la chaleur de la scène avant d’être enregistré, III diffuse bien sûr les ambiances orageuses et mouvantes propres au groupe.
Mais le noir s’est fait plus intense, plus complexe, à l’image des chemins plus indus et rock qu’emprunte la musique, laissant sous ses semelles le côté electronica des premiers disques. III c’est finalement la percée schizophrène d’une triple personnalité au sein d’un même élément. Trois sensibilités complémentaires, cohabitant entre amour et haine, participant de façon quasi mystique à la même essence, de façon pourtant distincte.