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Release Archives | Jarring Effects -FR }
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Kikento est là ! Nombreux étaient ceux qui l’attendaient : le nouvel EP des Mamans du Congo & Rrobin. Et ce n’est qu’une mise en bouche puisqu’il introduit tout un album pour l’automne prochain. Au gré des quatre titres de ce disque, le groupe nous ouvre les portes de leur univers et distille des messages percutants. En écoute sur toutes les plateformes de streaming ici !

Les Mamans du Congo ont vu le jour en 2018 à Brazzaville au sein d’un projet fusionnant la danse avec les berceuses ancestrales Kongo chantées en lari par les cinq mamans. Depuis leur premier album, Les Mamans du Congo & Rrobin entendent transmettre le matrimoine culturel et les traditions congolaises au sein d’un univers combinant instruments percussifs DIY, pulsations électroniques, bass music et afrobeats à travers des boîtes à rythmes, rap et chœurs envoûtants. Ce son est aujourd’hui précisé avec Kikento, un nouvel opus via lequel ils achèvent d’imposer les couleurs de leur palette musicale unique.

Les faits sociaux, les valeurs héritées du Royaume Kongo, et la féminité transparaissent dans Kikento, cet EP afro rétro-futuriste hypnotique percutant. Gladys Samba, la leadeuse des Mamans, chante et rappe sur une musique électronique funky orchestrée par le producteur Rrobin, agrémentée de la basse puissante de Mel Malonga et de rythmiques traditionnelles de différentes régions du Congo, jouée sur des instruments fabriqués à partir de matériaux de récupération (assiettes, fourchettes, boîtes de conserve).

Au sein du premier titre Ntima, rythmé par les traditions du Bas-Congo, et enveloppé de sonorités atmosphériques et de vapeurs drill, Les Mamans du Congo & Rrobin affirment la quête de liberté et d’indépendance des femmes africaines. Le titre raconte l’histoire et les lamentations d’une femme stérile qui résiste aux jugements et moqueries et à l’indifférence de son mari.

Le groupe dévoile également une afro-house bantoue et funky sur le très explosif Sala Sala (« le travail »), un appel à l’effort personnel pour éradiquer les souffrances liées au manque d’emploi, afin de mettre en avant la créativité et le dynamisme de la société congolaise.

Les contes ancestraux sont ravivés sur Maria, avec un air chanté dans les cours d’écoles et orchestré par le rythme Timbwa (joué avec des sortes de maracas locales) où Maman Gladys chante contre les méfaits causés par la jalousie.

Le rythme N’Tounta joué dans les fêtes et veillées au Bas-Congo est propulsé dans un monde afrobeats et trap au sein de Dia (« manger »), un hymne afrobeats et trap rythmé contre la paresse de certains hommes toujours nourris-logés par leurs mères à 40 ans.

Électroniser les percussions, rapper le quotidien et les faits sociaux de Brazzaville, préserver les différentes valeurs et héritages et les transmettre aux nouvelles générations, Les Mamans du Congo & Rrobin perpétuent les mémoires et apportent une nouvelle dimension dans les musiques d’Afrique.

Après un premier album ovationné par la presse comme le public, les Mamans du Congo & Rrobin signent leur grand retour avec un EP et un nouvel album en 2023 et en dévoilent un premier extrait aujourd’hui : Ntima

Ntima, Les Mamans du Congo, Rrobin

Chanter pour émanciper la femme africaine. Une rencontre unique entre les berceuses bantu du Congo, les musiques électroniques et le hip-hop. Un projet hybride qui fait la part belle à la danse et qui met en lumière le quotidien de la femme congolaise d’une façon audacieuse et surtout connectée avec son temps.

Au sein d’un univers combinant instruments percussifs DIY, pulsations électroniques, bass music et afrobeats à travers des boîtes à rythmes, rap et chœurs envoûtants, ce groupe charismatique et féministe entend éveiller les consciences et préserver les valeurs et rythmes et mélodies ancestrales bantoues. Après avoir ravivé les berceuses séculaires du Congo avec un premier album acclamé par la presse internationale et le public, la charismatique chanteuse percussionniste et leadeuse du combo, Gladys Samba, accompagnée de ses musiciennes et de Rrobin, continue le combat. Kikento, “le pouvoir féminin” en langue Lari, désigne le nom de cet EP avec qui la formation offre un fragment avec le single Ntima sorti le 13 janvier 2023.

Single disponible sur toutes les plateformes de streaming en cliquant ici !

Au sein de ce titre atmosphérique aux vapeurs drill imprégnées de rythmiques du bas-Congo, Les Mamans du Congo & Rrobin affirment la quête de liberté et d’indépendance des femmes africaines.
Ntima (le cœur) raconte l’histoire et les lamentations d’une femme stérile qui résiste aux jugements et moqueries et à l’indifférence de son mari. La stérilité étant mal perçue au Congo, Gladys Samba veut sensibiliser la population et encourager ces dames.Comme pour les berceuses, le groupe transpose un jeu de questions réponses utilisé par les enfants lors de parties de cache-cache. Munsongi nsongela nzila “Montre moi le chemin” : au sein de ce refrain onirique, Les Mamans du Congo & Rrobin indiquent aux femmes mais aussi au monde, la route à prendre. Une route sinueuse entre les villages et les villes, entre les traditions et le futur, entre les rêves et les violences, que le groupe propulse dans une musique afro rétro-futuriste hypnotique.

© Paul Bourdrel

Les Mamans du Congo ont vu le jour en 2018 à Brazzaville au sein d’un projet fusionnant la danse avec les berceuses ancestrales Kongo chantées en lari par les cinq mamans. L’histoire de leur peuple, le quotidien de la femme congolaise se retrouvent en musique pour la première fois sur des rythmiques jouées avec des fourchettes, assiettes, paniers, pilons et matériel de récupération. Sous la houlette de l’Institut français du Congo avec sa directrice Marie Audigier, de la Coopérative de Mai et du label Jarring Effects, le collectif de femmes a rencontré le producteur français de hip-hop et de musiques électroniques, Rrobin afin de poursuivre l’expérimentation musicale du matrimoine congolais.

Le beatmaker, habitué des rencontres artistiques, les rejoint à Brazzaville en 2019 aux côtés de Céline Frezza (co-directrice du label Jarring Effects). Un album est né et les berceuses ont parcouru le monde.
Leur musique est devenue un véritable laboratoire musical où Rrobin amène ses riffs et nappes grime, drill, boom bap et digitales pour les marier avec les différents rythmes présents au Congo.

Gladys-Les-Mamans-du-Congo© Greg Yaleg

© Greg Yaleg

Électroniser les percussions, rapper le quotidien et les faits sociaux de Brazzaville, préserver les différentes valeurs et héritages et les transmettre aux nouvelles générations, Les Mamans du Congo & Rrobin perpétuent les mémoires et apportent une nouvelle dimension dans les musiques d’Afrique.

Et si on dansait pour fêter ça ? Les Mamans du Congo x Rrobin partent en tournée dès mars avec déjà plus d’une quinzaine de dates prévus en France et en Suisse. Prends ton billet en cliquant ici !

« Le Rapport Brazza », un podcast Spotify Original composé par Rrobin ! Un récit entre documentaire et fiction sur un pan essentiel, mais tabou, de notre mémoire commune : les ravages de la colonisation en Afrique équatoriale. La BO disponible dès maintenant sur toutes les plateformes de streaming !
Rapport Brazza, Rrobin, podcast

Le Rapport Brazza – Podcast

« Le rapport Brazza, un secret de famille, un scandale d’Etat » est un podcast Original Spotify, produit en association avec L’Officine et écrit par Thibaud Delavigne, Charlie Dupiot et Antoine Jaunin. Disponible depuis le 25 octobre 2021, le podcast revient sur l’histoire d’un rapport historique qui a été classé secret défense en 1905. Ce rapport, c’est celui de Pierre Savorgnan de Brazza. Il s’intéresse à la colonisation en Afrique équatoriale française mais surtout, il dénonce de manière très détaillée les crimes commis par des colons avec le soutien et le couvert de l’administration.

Ce rapport, enfin dévoilé après des siècles, est agencé à une fiction pour rendre la découverte plus entraînante. A travers 5 épisodes, nous nous retrouvons en 1930 et suivons les aventures de Johan Tessman interprété par Gaël Kamilindi. Johan est un jeune homme franco-gabonais, fils d’un administrateur colonial blanc qui l’a ramené avec lui en Europe et lui a toujours caché l’identité de sa mère, noire et gabonaise. Devenu ethnologue, Johan repart au Gabon. Il sera accompagné d’Ambroise joué par Ekomy NDONG, son guide et interprète au cœur du Gabon, pour mettre la main sur sa mère. La découverte du très confidentiel “Rapport Brazza” va bouleverser sa vie. Il se met alors à interviewer les gens, à enregistrer les chants, les contes, les traditions, et surtout il pose la question à tous les gens qu’ils croisent « Est ce que vous connaissez ma mère ? ». Jusqu’à ce que quelqu’un la connaisse… Angélique Kidjo, vieille femme proche de la mère du Franco-Gabonais, va dévoiler à Johan bien des choses sur sa mère…

Cette fiction qui réunit militants pour la cause noire, artistes et comédiens, est un voyage au cœur des exactions qu’ont connu les populations noires pendant la colonisation française en zone équatoriale.

La BO du podcast, entièrement composée par le beatmaker Rrobin, avec les archives de chants traditionnels enregistrés au Gabon et au Cameroun en 1907 par Günter Tessmann et conservées au musée de Berlin, est disponible dès maintenant en cliquant ici !

 

Un podcast Original Spotify, produit en association avec L’Officine, en partenariat avec RFI et disponible gratuitement ici 
Avec les voix d’Angélique Kidjo, chanteuse békinoise, du rappeur gabonais Ekomy NDong et du comédien Gaël Kamilindi de la Comédie-Française
Avec les témoignages exclusifs de Catherine Coquery-Vidrovitch et Lilian Thuram

SURPRISE : Zentone Live ! Le nouvel album live de Zentone est là. Le duo Zenzile et High Tone continue d’être une belle réussite puisque cet album amorce également une tournée commune à l’automne.

Après un premier album en 2006 puis 15 ans d’attente avant le second album en 2021, High Tone et Zenzile ne nous font pas patienter si longtemps cette fois. Les deux parrains du dub français, accompagnés du chanteur Jolly Joseph (Dub Shepherds), ont débuté une tournée commune pour présenter Zentone Chapter 2 sur scène, car cet opus a été conçu avant tout pour le live. L’occasion pour le groupe d’enregistrer certains morceaux lors de leur date au Bikini à Toulouse. Leur amour pour le live les réunit encore une fois sur ce nouveau projet et nous fait ressentir d’autant plus la complicité des deux groupes et toute leur maitrise de l’art du mixage.

L’album Zentone Live regroupe sept morceaux incontournables de l’entité bicéphale Zentone. On y retrouve trois titres de Zentone Chapter 2 en interprétation live bien sur. J’ai nommé les redoutables Counter Strike Dub, Hilltop Dub et Stone Cold. Bonne nouvelle pour les fidèles, on retrouve l’emblématique morceau Zentown issu du premier album. Spécificité importante, trois des morceaux de cet opus ont été revisités par Zentone et Jolly Joseph à l’occasion de la tournée. Wild Word est la version live du titre Open Gate, initialement en featuring avec Nai-Jah, ici réécrit et interprété par Jolly Joseph. Quant à Aquarius, c’est un rework par Zentone du titre du même nom de Dub Shepherds & Jahno. Pour conclure l’album, Never Work in Vain rend hommage à l’artiste jamaïcain Nazamba en revisitant le son Dub Revolution pour lequel il avait prêté sa voix sur Zentone Chapter 2.

La fusion High Tone et Zenzile nous offre alors un album live reprenant leurs titres incontournables et emblématiques ainsi que des reworks redoutables. La sortie de cet album clôture une tournée estivale ovationnée par le public (Atabal, Krakatoa, Elysée Montmartre, Durrassic Festial, Bougnat Festival, Tilliacum Festival, Régal Sound Festival, Les Grands Music Festival….) et amorce la tournée d’automne/hiver qui compte d’ores et déjà une quinzaine de dates à travers la France. Et on finit sur une énième bonne nouvelle, les billets pour les prochaines dates sont disponibles ici. 

L’album Zentone Live est disponible sur toutes les plateformes de streaming !

High Tone et Zenzile reviennent avec un nouvel album intitulé Zentone LIVE prévu pour le 21 octobre prochain. Ce vendredi 7 octobre amorce le coup d’envoi de ce nouvel opus avec la parution du single Never Work In Vain en featuring avec Jolly Joseph de Dub Shepherds, en écoute dès à présent sur toutes les plateformes digitales en cliquant ici.

Après le très attendu Zentone Chapter 2, les deux groupes de dub les plus mythiques de l’Hexagone qui forment Zentone ont débuté une tournée commune pour présenter l’album en concert. La scène pour défendre ce projet, c’était une évidence, et ce dès la conception même de Chapter 2. Conçu en pleine pandémie, cet opus a été réalisé sans filet, avec un dispositif de répétition enregistrée. Pas de chichi sur le placement des micros, pas de casque, mais bien une configuration avec sono où le live et l’improvisation étaient les maîtres-mots. Le collectif et la spontanéité étant au cœur de ce projet. Ce besoin d’humanité, on le retrouve aussi dans la chaleur du son : pour le Zentone Chapter 2, l’analogique prime, adieu l’interface froide de l’ordinateur entre la musique et l’humaine. Jouer cet album en live, pour le public, coulait donc de source. La tournée marque donc la naissance de ce nouvel album logiquement intitulé Zentone LIVE.

Zentone, High Tone, Zenzile, Zentone Live

© J.-C. Forestier

Enregistré en mai dernier lors de leur date au Bikini à Toulouse, Zentone LIVE contient sept titres issus de leur album Chapter 2 ainsi que du premier disque Zentone paru en 2006. Zentone LIVE renferme également un rework par Zentone d’un titre de Dub Shepherds ainsi que deux titres inédits issus de Chapter 2 mais réécrits et réinterprétés par le chanteur Jolly Joseph (Dub Shepherds) qui a rejoint High Tone et Zenzile sur scène pour cette tournée. Le premier extrait de cet album est d’ailleurs le titre Never Work In Vain qui n’est autre que le titre Dub Revolution revisité par Jolly Joseph. En mémoire au regretté artiste jamaïcain Nazamba qui lui avait prêté sa voix sur Chapter 2.

Never Work In Vain feat. Jolly Joseph disponible sur toutes les plateformes.

Après le remix tropical baile funk de Mbila par João Selva, la version techno acid de Bordel de Rap par Uzul et le remix abstract electro chill de Perle Précieuse par Fakear, c’est au tour du producteur Praktika de dévoiler son remix inédit des Mamans du Congo & Rrobin en ce 26 août !
Praktika, le producteur qui fusionne les genres

Praktika fait ses armes en Afrique de L’Ouest. Il commence par vivre au Burkina Faso, ensuite en Côte D’ivoire puis enfin au Mali. De retour en France, il sort son premier album Benkadi en 2021 sur le label Blanc Manioc. Un opus sous forme de carnet de voyages, où il embarque ses amis musiciens dans un bus rempli d’acid mandingue et de techno gnawa. S’ensuit la création d’un duo avec le multi-instrumentiste Simon Winse. Ensemble, ils se produisent sur des scènes prestigieuses comme les Nuits Sonores, l’Africolor Festival, le Rush Festival et bientôt au Tohu Bohu en Suisse. Au delà de ses productions endiablées, Praktika est également un DJ hors pair. Il utilise toutes ses découvertes sonores mondiales et surtout africaines (gqom, maloya, gnawa,…) pour les associer avec ses propres influences house et techno.

Praktika, Boum, remix, les mamans du congo et rrobin

Boum prend des couleurs de rave underground

Le producteur décide de remixer Boum dans l’optique de la transformer en un track Chicago house assez classique. Par accident, il découpe les voix, tel un mauvais chirurgien. Le titre devient alors plus sanglant : un beat assez froid, les assiettes qui se fracassent et Boum ! Praktika déstructure d’une main de maître le titre des Mamans du Congo & Rrobin et nous catapulte pour nous emmener, loin, dans les tréfonds d’une rave underground américaine. Un remix qui met à l’honneur la puissance de Détroit et de l’Afro-House.

Boum est le quatrième single de cet album de remix, et aucun d’entre eux ne se ressemble ! Tu peux dès aujourd’hui streamer le remix de Praktika sur toutes les plateformes de streaming. Reste connecté.e pour ne pas rater le prochain remix !

Fakear, le jeune et brillant producteur français reprend Perle Précieuse ! Le troisième single entrera dans l’album de remix des Mamans du Congo & RROBIN, qui sortira en fin 2022.
Un nouveau remix à la signature unique

Après le remix tropical baile funk de Mbila par l’ambassadeur des musiques brésiliennes en France João Selva, et le remix techno acid de Bordel de Rap par le producteur Uzul, on te dévoile aujourd’hui une version abstract électro de Perle Précieuse signée Fakear. Un remix des Mamans du Congo & Rrobin qui s’est fait tout naturellement. Il le déclare lui-même : « Pour moi c’était une évidence (…) les chansons de cet album sont généralement ce que je recherche lorsque je me mets en quête de samples. ». Comme à son habitude, le producteur excelle dans la création d’ambiances sonores et de paysages. Dès les premières notes, on se retrouve allongé·e au pied d’un arbre. On se laisse couler, bercé·e par la plénitude de la forêt, le chant des oiseaux et le clapotis de la rivière.

Fakear, Perle Précieuse, Remix

© Ella Hermë

Fakear, la renaissance

Après des débuts vertigineux, Fakear remplit dès son plus jeune âge un Olympia. Une salle sold out sans avoir encore sorti de premier album (qui sera ensuite consacré disque d’or). Il a fallu que le monde entier se confine pour que le Caennais sensible de trente ans fasse le tri dans sa tête comme dans sa musique. Théo réinvente alors Fakear pour revenir à l’essentiel avec spontanéité et honnêteté. Mais l’industrie musicale devient de plus en plus demandeuse. Plusieurs années de questionnements plus tard, Fakear revient à ses premières amours. Il prône son émotivité et ses combats assumés, comme celui de l’écologie, en intégrant il y a deux ans Music Declares Emergency et en jouant aux marches pour le climat.

Perle Précieuse (Fakear Remix) est désormais disponible sur toutes les plateformes, à streamer sans modération ! Reste connectée.e : 2023 sera l’année du grand retour des Mamans du Congo & Rrobin avec un deuxième album suivi d’une tournée mondiale.

Après le titre Mbila réinterprété par João Selva, c’est à Uzul de nous proposer le deuxième extrait du futur EP de remix des Mamans du Congo & RROBIN. Bordel de Rap, c’est le titre qu’a choisi Uzul pour l’emmener dans son univers et le transformer à son tour.

 

Un album de toutes les couleurs

Plus qu’une invitation au voyage, c’est un tour du monde musical qui t’attend avec cet album. On y retrouvera les racines du succès et de la singularité des Mamans du Congo & RROBIN, retranscrites dans des univers et genres tous plus différents les uns des autres. En tout, six artistes proposeront leurs remix de ces titres à succès. En mai dernier, Joao Selva ouvrait le bal avec Mbila, une version tropicale baile funk qui transporte Les Mamans du Congo & Rrobin jusqu’au Brésil. Un décor exotique invitant au soleil, danses traditionnelles et autres chants d’oiseaux. Le prochain titre à refaire peau neuve, c’est Bordel de Rap. Le titre sera alors emmené dans l’univers singulier d’Uzul, très différent du précédent.

Uzul, une référence de la bass music

Il marque ses débuts dans la scène dub française en tant que chanteur dans les groupes Kaly Reggae Dub ou encore High Tone, avant de fonder les mythiques Kaly Live Dub où il œuvre dans les effets et samples. Au fur et à mesure de ses projets, il continue d’expérimenter la bass music et autres genres électroniques à travers ses projets solo comme en groupe, en passant par le hip-hop noise, la UK bass ou encore la techno. Dans son dernier album solo Evolve sorti en 2021 chez Jarring Effects, il met l’accent sur la techno et la bass music et abolit une nouvelle fois les frontières musicales.

Uzul; evolve; photo; presse

© Joris Couronnet

Bordel de Rap version techno !

Uzul choisit donc le titre Bordel de Rap et décide de l’orienter vers une esthétique techno. Ce choix, il l’explique notamment dans cette capsule vidéo, postée sur nos réseaux sociaux. « Entre la musique techno et la musique africaine, il y a un gros lien : c’est la trance ».
Il joue avec les contrastes de ces deux genres, entre chaleur et froideur. Il crée alors un pont entre ces deux cultures. A écouter de toute urgence !

Reste connecté.e sur nos réseaux Facebook et Instagram pour ne pas rater les prochains remix des Mamans du Congo & Rrobin !

 

Il est là, le Zentone Chapter 2 ! Et non pas avec un mais bien deux volumes ! Quinze ans après le premier Zentone, Zenzile et High Tone remettent enfin le couvert pour le très attendu Zentone Chapter 2. Les deux groupes de dub les plus mythiques de l’Hexagone relèvent une seconde fois le défi et nous offrent un nouvel album, coproduit par Jarring Effects et Black Dub. Un opus qui va ravir les oreilles de tous les amateurs de dub. Une de ses spécificités ? Les voix de Nai-Jah, Jolly Joseph (Dub Shepherds), Rod Taylor et Nazamba (déjà entendu sur les riddims d’OBF) viennent enrichir certaines des compositions.

High Tone, Zenzile, Zentone

Le CD regroupe les 10 titres mixés par Zenzile. Fidèle à leur ADN, les Angevins manient d’une main de maître l’écriture et la construction des titres. Ambiance atmosphérique garantie.

Zenzile, High Tone, Zentone

Le double vinyle, conçu pour les sound system, regroupe 12 titres mixés par High Tone (quatre titres, leur version instrumentale et un troisième mix à la structure encore plus dub). Les mixs sont plus instinctifs, les quatre lyonnais ont clairement lâché prise. Leurs mixs sont une photo de l’instant, un dub à l’ancienne aux intro retournées bien comme il faut.

Zenzile, High Tone, Zentone

Zentone Chapter 2, une rencontre au sommet qui ravira tous les amateurs de dub, puisque ce n’est pas un, mais bien deux volumes qui entrent dans les bacs: un CD ambiance shanti qui regroupe les 10 mix version Zenzile et le double vinyle, conçu pour les sound system avec 12 mix version High Tone (quatre titres, leur version instrumentale et un troisième mix à la structure encore plus dub).

A l’écoute de ce nouvel opus, s’il y a un mot qui nous vient à l’esprit c’est bien « humanité ». Zentone Chapter 2 a été conçu en pleine pandémie. Les 9 musiciens se sont retrouvés à Lyon le temps d’une semaine pour une session de prises en studio. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que cette période étrange n’a pas impacté leur créativité, loin de là ! Cette fois-ci et, contrairement à 2006, ils ont décidé de travailler sans filet avec un dispositif de répétition enregistrée. Pas de chichi sur le placement des micros, pas de casque, mais bien une configuration avec sono où le live et l’improvisation étaient les maîtres-mots. Le collectif et la spontanéité sont au cœur de ce projet. Ce besoin d’humanité, on le retrouve aussi dans la chaleur du son : l’analogique prime, adieu l’interface froide de l’ordinateur entre la musique et l’humain.

Ce retour à la simplicité se retrouve également dans les mixs. Chacun des deux groupes a choisi de mixer les titres sur console analogique. Côté High Tone, les mixs sont plus instinctifs, les quatre lyonnais ont clairement lâché prise. Leurs mixs sont une photo de l’instant, un dub à l’ancienne aux intro retournées bien comme il faut. C’est d’ailleurs le disque qu’High Tone a le moins édité en 20 ans ! Fidèle à leur ADN, les Angevins quant à eux manient d’une main de maître l’écriture et la construction des titres. Ambiance atmosphérique garantie.

Une autre spécificité de ce nouvel opus est la collaboration avec des chanteurs. Les voix de Nai-Jah, Jolly Joseph (Dub Shepherds), Rod Taylor et Nazamba (déjà entendu sur les riddims d’OBF) viennent enrichir les compositions. En choisissant des chanteurs qui viennent du live et du sound system, Zentone affirme sa tendance de jouer de la musique en live. Une chose est sûre, avec ce nouvel opus, le live band fait la synthèse de toutes les générations du dub. Zentone joue du dub instrumental, puis le mix avec des techniques propres au dub et ne cache pas ses inspirations de King Tubby à Prince Jammy en passant par Scientist. Mais ils intègrent aussi la nouvelle scène dub. Une scène vive, artisanale, collective, inspirée et inspirante qui n’a pas fini de faire parler d’elle.

Co-production : Jarring Effects et Black Dub

Quinze ans après le premier Zentone, Zenzile et High Tone remettent enfin le couvert pour le très attendu Zentone Chapter 2 ! Les deux groupes de dub les plus mythiques de l’Hexagone relèvent une seconde fois le défi et nous offrent un nouvel album prévu pour le 12 novembre prochain, coproduit par Jarring Effects et Black Dub. Aujourd’hui on te dévoile le premier single Dub Revolution, porté par la voix envoûtante du dub-poète Jamaïcain Nazamba.

Zentone, High Tone, Zenzile, Nazamba, Dub Revolution

Dub Revolution te donne un avant-goût de ce qui t’attend avec le Zentone Chapter 2 ! Une rencontre au sommet qui ravira tous les amateurs de dub, puisque ce n’est pas un, mais bien deux volumes qui entrent dans les bacs: un CD ambiance shanti qui regroupe les 10 mix version Zenzile et le double vinyle, conçu pour les sound system avec 12 mix version High Tone (quatre titres, leur version instrumentale et un troisième mix à la structure encore plus dub).

A l’écoute de ce nouvel opus, s’il y a un mot qui nous vient à l’esprit c’est bien « humanité ». Zentone Chapter 2 a été conçu en pleine pandémie. Les 9 musiciens se sont retrouvés à Lyon le temps d’une semaine pour une session de prises en studio. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que cette période étrange n’a pas impacté leur créativité, loin de là ! Cette fois-ci et, contrairement à 2006, ils ont décidé de travailler sans filet avec un dispositif de répétition enregistrée. Pas de chichi sur le placement des micros, pas de casque, mais bien une configuration avec sono où le live et l’improvisation étaient les maîtres-mots. Le collectif et la spontanéité sont au cœur de ce projet. Ce besoin d’humanité, on le retrouve aussi dans la chaleur du son : l’analogique prime, adieu l’interface froide de l’ordinateur entre la musique et l’humain.

Ce retour à la simplicité se retrouve également dans les mixs. Chacun des deux groupes a choisi de mixer les titres sur console analogique. Côté High Tone, les mixs sont plus instinctifs, les quatre lyonnais ont clairement lâché prise. Leurs mixs sont une photo de l’instant, un dub à l’ancienne aux intro retournées bien comme il faut. C’est d’ailleurs le disque qu’High Tone a le moins édité en 20 ans ! Fidèle à leur ADN, les Angevins quant à eux manient d’une main de maître l’écriture et la construction des titres. Ambiance atmosphérique garantie.

Une autre spécificité de ce nouvel opus est la collaboration avec des chanteurs. Les voix de Nai-Jah, Jolly Joseph (Dub Shepherds), Rod Taylor et Nazamba (déjà entendu sur les riddims d’OBF) viennent enrichir les compositions. En choisissant des chanteurs qui viennent du live et du sound system, Zentone affirme sa tendance de jouer de la musique en live. Une chose est sûre, avec ce nouvel opus, le live band fait la synthèse de toutes les générations du dub. Zentone joue du dub instrumental, puis le mix avec des techniques propres au dub et ne cache pas ses inspirations de King Tubby à Prince Jammy en passant par Scientist. Mais ils intègrent aussi la nouvelle scène dub. Une scène vive, artisanale, collective, inspirée et inspirante qui n’a pas fini de faire parler d’elle.

Rendez-vous le 12 novembre pour la sortie digitale et physique (CD et double vinyle) de Zentone Chapter 2. 

Co-production : Jarring Effects et Black Dub

Précommande le double vinyle (Tone Mix) ici

Précommande le CD (Zen Mix) ici

Tenez vous bien ! Le producteur lyonnais Schvédranne s’apprête à dévoiler son concept album réalisé avec le poète mythique de San Francisco, Jack Hirschman. On te dévoile le premier single Sur un vers de Whitman en attendant la sortie physique (CD/vinyle) et digital de leur album Vanity Vanity All Is Vanity  le vendredi 5 novembre 2021.

Schvédranne, Jack Hirschman, Sur un vers de Whitman, Céline Frezza

Le producteur et multi-instrumentiste lyonnais Schvédranne dévoile son album réalisé avec le poète mythique de San Francisco, Jack Hirschman. Enregistré à Lyon, ce disque est une histoire de rencontres et de visions et de luttes communes transposées en musique.

Vanity Vanity, All Is Vanity est un recueil sonore où l’électronique, le blues, le trip-hop illustrent les mots et les poèmes de ce pilier de la beat génération. Sa voix rauque résonne dans le disque et témoigne de sa vie tumultueuse et de sa plume inimitable. Dans la centaine de volumes et d’essais de l’écrivain, Schvédranne y dessine une bande-son, où d’autres chanteur·euse·s vont proposer leur interprétation/lecture.

Le premier single de cet album à venir, Sur un vers de Whitman, représente la collision parfaite des deux univers. Un morceau hommage à Walt Whitman, poète humaniste américain du XIXème siècle et indéfectible source d’inspiration de l’œuvre de Jack. A la rugosité du texte vient en réponse la voix envoûtante de Céline Frezza (a.k.a Erzatz) sur la musique nostalgique et lancinante de Schvédranne, naviguant entre un blues aux guitares enivrantes et des atmosphères downtempo aériennes.

Les mots de Jack Hirschman, dès la première strophe déclamée, sonnent comme une sombre prémonition pour le poète qui les a aimé : «Tout d’un coup les morts j’ai plus envie de m’en souvenir» car celui-ci rendra son dernier souffle le 22 août 2021. Cependant ses mots et sa voix continueront de raisonner à travers ce disque qui lui rend hommage tout en perpétuant ses idéaux.

Précommander le vinyle ou le CD ici

Co-production / co-édition : Jarring Effects et Salamah Productions

 

Beyond The Blue, le nouvel album de Brain Damage et Big Youth sort aujourd’hui en double vinyle, en CD digipack et en digital sur toutes les plateformes de streaming !

Big Youth signe avec brio son retour avec ce nouvel album, le premier depuis une décennie ! Pétillant et intarissable, il évoque tour à tour l’âge d’or du reggae jamaïcain des années 60 et 70, nous livre sa version un brin complotiste de la crise sanitaire, évoque sa foi et parle d’amour… tout en s’intégrant à merveille à chaque univers proposé par Brain Damage, dont les compositions intègrent le reggae aux influences diverses, comme le jazz, le blues, le ska et le rock-steady, rehaussé par de merveilleux arrangements de cuivres.

Une histoire dans l’histoire

… ou comment résumer en quelques mots l’incroyable et terrible aventure vécue par Martin Nathan et son fidèle compagnon Samuel Clayton Jr, partis en Jamaïque en mars 2020, pour une collaboration avec le légendaire Big Youth. Le contexte d’un premier lockdown mondial inédit ne leur laissera que peu de temps pour effectuer des prises avec le célèbre DJ, avant qu’ils ne contractent tout deux le virus… Martin Nathan aura la chance de pouvoir rentrer en France, bien qu’obligé de rester confiné et de se soigner seul dans son studio pendant cinq semaines dès son retour. Samuel Clayton Jr, lui, ne rentrera pas, emporté par la maladie à Kingston.

La volonté de fer du producteur, épaulé par son label Jarring Effects et le producteur jamaïcain Stephen Stewart, permettra tout de même à ce projet d’aboutir.

Big youth

De son côté, une chose est sûre, Big Youth est en grande forme ! Il marque brillamment son retour avec cet album, constitué quasiment uniquement de nouveautés, le premier depuis de longues années ! Aux dires mêmes des nombreux éminents musiciens et chanteurs présents aux Anchor studios à Kingston pendant les prises, il n’a rien perdu de sa verve : « …you still get it, man ! ». Pétillant et intarissable, distillant une variété étonnante de styles vocaux, qu’il a lui-même créés, il évoque tour à tour « the old days », l’âge d’or du reggae jamaïcain des années 1960 et 70, nous livre sa version un brin complotiste de la crise sanitaire, évoque sa foi et parle d’amour… tout en s’intégrant à merveille à chaque univers proposé par Brain Damage.

Brain Damage

Car si l’on se réjouit ici de la forme et l’inventivité du elder, Martin Nathan n’est pas en reste et refond une nouvelle fois son style pour l’occasion. Toujours plus musicales, ses propositions se teintent d’influences diverses, pour lui jusque-là encore inexploitées, jazz, blues, ska, rocksteady…sublimées par de délicieux et soyeux arrangements de cuivres réalisés par Franck Boyron et ses acolytes, Baptiste Sarat et Fred Roudet. L’ensemble, bénéficiant d’une production ne laissant rien au hasard, constitue sans doute une nouvelle pierre angulaire de la foisonnante discographie de Brain Damage, dont on se demande toujours jusqu’où elle nous emmènera.

Samuel Clayton Jr

Samuel Clayton Jr, quant à lui, manquera à beaucoup de monde. Si on l’entend régulièrement et de façon évidente sous forme de samples tout au long de ce qui restera le dernier album sur lequel il aura travaillé, c’est avant tout son état d’esprit que Martin Nathan s’est efforcé de respecter, sous la forme d’une nouvelle aventure sonore et humaine. L’émotion est ici audible, palpable.

Brain Damage, Big Youth, Beyond The Blue, Samuel Clayton Jr

Après 2020, I Pray Thee, Brain Damage et Big Youth dévoilent le second extrait de leur album Beyond The Blue, prévu pour le 28 mai prochain !

Brain Damage, Big Youth, Beyond The Blue, Jarring Effects

Si la genèse de ce détonnant projet de collaboration s’est déroulée de façon imprévue et dramatique, le producteur Martin Nathan aka Brain Damage a volontairement voulu cet album plus lumineux que jamais. Ce second single, éponyme, en est une excellente illustration. Brain Damage surprend une nouvelle fois, et distille un son harmonieux, chaloupé, teinté d’influences à la fois précises et universelles. Les imparables et néanmoins subtiles arrangements de cuivre signés par Franck Boyron viennent y ajouter une touche soul et élèvent déjà le morceau à un autre niveau.

Que dire alors de l’incroyable prestation de Big Youth ? On le découvre ici dans un premier temps crooner, chanteur de charme, lui même sans doute influencé par les maîtres du genre. Dans un second temps, il nous coupe le souffle (mais quand donc reprend-t-il le sien ?), avec une longue improvisation dont il a le secret, surfant sur les délicates harmonies offertes par le producteur compositeur.

Un moment de grâce et de symbiose, à n’en point douter. Avec un seul mot d’ordre : « love is the answer », message simple mais essentiel, à raison une nouvelle fois asséné dans ce contexte général si délicat.

Une histoire dans l’Histoire … 

Comment résumer en quelques mots l’incroyable et terrible aventure vécue par Martin Nathan et son fidèle compagnon Samuel Clayton Jr, partis en Jamaïque en mars 2020, pour une collaboration avec le légendaire Big Youth. Le contexte d’un premier lockdown mondial inédit ne leur laissera que peu de temps pour effectuer des prises, avant qu’ils ne contractent tous deux le virus… Martin Nathan aura la chance de pouvoir rentrer en France, bien qu’obligé de rester confiné et de se soigner seul dans son studio pendant cinq semaines dès son retour. Samuel Clayton Jr, lui, ne rentrera pas, emporté par la maladie à Kingston.

La volonté de fer du producteur, épaulé par le producteur jamaïcain Stephen Stewart, permettra tout de même à ce projet d’aboutir. 

Brain Damage, Samuel Clayton Jr, Stephen Stewart, Jarring Effects, Beyond The Blue, Big Youth

Rendez-vous le 28 mai pour découvrir les 12 titres de l’album !

Brain Damage est de retour avec un nouvel album en collaboration avec le légendaire Big Youth ! On te dévoile un premier extrait accompagné d’un clip signé Arythmian et Sébastien Sailly !

2020 I Pray Thee 

Artwork, Brain Damage, Big Youth, 2020 I Pray Thee

J’écoute le single !

Pour ce premier single intitulé 2020 I Pray Thee, Brain Damage revisite de manière inattendue l’un des hymnes les plus puissants de Big Youth sorti en 1974. Une atmosphère ouatée, aux sonorités jazz et lancinantes, sert ici d’écrin aux fracassantes incantations du célèbre maître jamaïcain.

Brain Damage 

Brain damage, Big Youth, Beyond The Blue

Avec la réalisation de 14 albums et plus de 700 concerts, Martin Nathan multiplie depuis 20 ans les propositions artistiques les plus aventureuses et diverses sous le nom de Brain Damage. Considéré comme l’un des créateurs de la scène dub en France à la fin des années 90, il se présente rapidement comme une influence majeure pour toute une génération de musiciens. N’étant pas du genre à se reposer sur les modèles qu’il a lui-même fondés, il se renouvelle sans cesse au gré de ses multiples projets. 

Big Youth

Big Youth, Brain Damage, Beyond The Blue

Il compte parmi les premiers artistes à développer le style DJ, ancêtre du rap, et devient rapidement l’un des plus reconnus. Tout en collaborant avec la quasi totalité des plus grandes figures artistiques jamaïcaines de l’époque, il constitue également une influence majeure pour Bob Marley parmi tant d’autres. Big Youth, ou JahYouth, comme on l’appelle affectueusement en Jamaïque, reste le DJ le plus touchant et le plus populaire de l’âge d’or du roots reggae des années 1970. 

Samuel Clayton Jr 

Samuel Clayton Jr, Brain Damage, Big Youth, Beyond The Blue

Incontournable ingénieur du son, tant en live qu’en studio, il travaillera avec les plus grands, des Rolling Stones à Steel Pulse ou Toots & the Maytals pour ne citer qu’eux, souvent accompagné de son ami de toujours Stephen Stewart (Harry JStudio, Burning Spear…). Il deviendra  en France rapidement l’homme à connaître pour tous les musiciens férus de reggae, et accompagnera la quasi totalité des formations de l’hexagone. Mais si Sam avait le bon carnet d’adresse pour rendre ce genre de choses possibles, on se souviendra de lui pour sa faculté à bâtir des ponts entre certaines cultures si différentes entre elles.

Un personnage ouvert, rare, irremplaçable.

Artdeko 

ArtDeko, Brain Damage, Big Youth, Beyond The Blue

Déjà présent dans le fameux album What you gonna do? de Brain Damage, le Duo Artdeko composé de Franck Boyron et Baptiste Sarat, réalise une nouvelle fois les arrangements cuivres pour Beyond The Blue. 

Une Histoire dans l’histoire … 

 

Comment résumer en quelques mots l’incroyable et terrible aventure vécue par Martin Nathan et son fidèle compagnon Samuel Clayton Jr, partis en Jamaïque en mars 2020, pour une collaboration avec le légendaire Big Youth. Le contexte d’un premier lockdown mondial inédit ne leur laissera que peu de temps pour effectuer des prises avec le célèbre DJ, avant qu’ils ne contractent tous deux le virus … Martin Nathan aura la chance de pouvoir rentrer en France, bien qu’obligé de rester confiné et de se soigner seul dans son studio pendant cinq semaines dès son retour. Samuel Clayton Jr, lui, ne rentrera pas, emporté par la maladie à Kingston.

La volonté de fer du producteur, épaulé par le producteur jamaïcain Stephen Stewart, permettra tout de même à ce projet d’aboutir. 

L’album sera disponible partout le 28 mai prochain. 

Avec plus de 11 maxi au compteur, Uzul, membre fondateur du mythique groupe lyonnais Kaly Live Dub te dévoile Evolve, son premier album solo. Un disque haut en couleur qui abolit les frontières entre les esthétiques musicales. Onze titres surprenants qui cassent les codes et qui retracent l’évolution de sa musique, de sa vie et de ses influences. Avec Evolve, Uzul nous offre un disque résolument bass music et techno dans lequel sont distillés ses multiples influences, du dub au dubstep en passant par la UK bass, la tech-house ou encore le trip hop.

Evolve, Uzul

J’EXPLORE LES PROFONDEURS ABYSSALES (lien d’écoute)

Evolve 

> Evolve est également disponible en édition limitée en vinyle éco-responsable <

L’album s’ouvre sur l’introduction Octopus. Avec son sonar entêtant et son thème enchanteur noyé sous lesbulles d’un plongeur sous-marin, ce morceau donne le ton de l’album. Immergé et coupé du monde tumultueux actuel, on débarque dans un univers musical aquatique dont on va explorer les profondeurs mélodiques et abyssales.

L’eau, c’est le fil rouge de cet album. On la retrouve dans l’artwork, dans le nom des titres mais aussi demanière plus conceptuelle. De l’eau surgit la vie et elle nous accompagne tout au long de notre existence. Et c’est bien de ça dont il s’agit puisque Uzul nous embarque dans sa bulle. Il nous donne une vision globale de toutes les esthétiques musicales qui ont jalonné son parcours, en tant que producteur mais aussi d’un point de vue plus personnel. Uzul mélange d’une main de maître les styles musicaux qui l’ont construit et fait danser au fil des années. L’utilisation de filtres et effets sonores finit de nous immerger dans cet univers aquatique, on se retrouve littéralement sous l’eau, coupé du monde, dans une réalité transformée. Evolve nous prouve que l’on peut, en musique, sortir des cases et casser les codes pour arriver à une belle harmonie.

C’est d’ailleurs le morceau Aquatic qui lance l’album. L’ambiance dub amenée parles synares et les skanks se mélangent aux couleurs techno, le tout soutenu par une basse groove et glitchée.

On poursuit avec Nemo , une ballade tout en douceur dans un monde mystérieux. Son groove entraînant fait écho à la UK bass et son thème electronica lui confère un côté pop.

C’est le morceau Water for Life qui lance la partie la plus techno de Evolve. Un titre évolutif et mélodique qui prend par moment une teinte club à l’anglaise et qui n’est pas sans rappelé la culture sound system dub de par les voix scandées, les skanks et la bassline. Avec son beat et ses sons électroniques,

Allo confirme le style techno de l’album. Une track résolument acid mais aussi très groove grâce à sa rythmique. On finit sur uneligne de bass typique du style dubstep. Un morceau au croisement de plusieurs styles, à l’image de l’album.

L’exploration techno se poursuit avec Sea Horse. Son ensemble de synthé TB303 hypnotiques pose l’ambiance froide. La soufflerie électronique et les sons métalliques évoluent au fil de ce morceau progressif.

On atteint l’apogée avec Ultra Abyssal, un hommage à la techno et au deepdubstep. C’est groovy, c’est breaké et ça va à coup sûr enflammer les dancefloors !

Après la tempête, on s’accorde une jolie balade électronique avec Subtil, un style deep dubstep mêlé aux sons trip-hop électroniques. Un morceau qui prend tout son sens àl’écoute des paroles. « I’m feeling good » est le message qu’Uzul veut véhiculer. Face aux tourments de la vie, il faut garder la tête haute, continuer à avancer et garder espoir coûte que coûte. Un titre mélancolique et sensible, amplifié par le thème onirique joué par Bernard Pelmoine (premier claviériste de Kaly Live Dub ) invité pour l’occasion.

On poursuit avec Diving, le titre le plus dub de l’album. Un clin d’oeil d’Uzul à son passif de fan de musiques jamaïcaines. L’ambiance électronique, dans l’esprit de Bill Laswell, amenée par une grosse ligne de basse et des percussions hypnotiques, rythme ce titre qui devrait combler les amateurs du genre.

Music is a game est quant à lui un hommage au mouvement rave auquel Uzul a participé. Ce titre techno est tempéré par le thème de melodica reggae, réalisé par Lion (musicien du groupe belge Dub Empire ).

Oceans vient clôturer l’album en douceur. On finit sur du dub trip-hop planant rappelant les productions du label Rythm & Sound.

Evolve nous prouve que l’on peut, en musique, sortir des cases et casser les codes pour arriver à une belle harmonie.

Les Mamans du Congo & RROBIN te dévoilent le clip Ngaminke ! Tourné par la réalisatrice Flore Onissah, Ngaminke est l’histoire d’une quête, le récit d’un retour aux sources, au sens propre comme figuré.

L’eau, source vive, purificatrice et régénératrice, relie l’humanité au monde. Ici, elle symbolise la fécondité et la prospérité. Ngaminke raconte l’histoire de la source de Mbamou, un village détruit en tant de guerre, situé sur une île à trente kilomètres de Brazzaville. Cette source, découverte par la mère de la belle-mère de Gladys Samba a besoin que l’on boive son eau. Entre sonorités traditionnelles bantoues et ambiance de grim et hip-hop la leadeuse des Mamans du Congo se reconnecte à cette source mystique.

> Réécoute l’album les Mamans du Congo et RROBIN ici < 

« Pendant la guerre, des villages entiers ont été détruits et la source de Mama Lemba a disparu. J’ai demandé aux ancêtres et aux esprits de m’aider à retrouver le chemin de cette source ». Le clip célèbre aussi l’âme des ancêtres, la voie de la sagesse, symbolisé par la fumée.Il met en scène les Mami Watta, ces sirènes ensorceleuses qui envoûtent les hommes avec leur chant, ces mères des eaux, mi-terrestres mi-aquatiques, qui symbolisent la mer nourricière et l’océan destructeur. Ngaminke rappelle à chaque femme africaine, outre la force de la mémoire et de la transmission, la puissance matriarcale qu’elle a en elle, puissance qu’elle tient de ses aïeules, et qu’elle peut convoquer à tout moment pour faire face aux épreuves de la vie et apporter paix et bénédiction à ses proches.

Uzul dévoile Sea Horse, premier extrait de son album Evolve ! Un single au croisement de la techno et de la minimale et aux sonorités dub.

UZUL; Evolve; SeaHorse

> écouter Sea Horse <

Son ensemble de synthés TB303 hypnotiques pose l’ambiance froide. En fond sonore, la soufflerie électronique, les sons métalliques et les synthétiseurs analogiques apportent le côté mécanique. Le tout soutenu par un skank pointu et imparable. Un morceau progressif et hypnotique qui te fait explorer les tréfonds de la techno.

Uzul inaugure une collection de vinyle écologique ! Il s’agit d’un disque composé de granulés à base de calcium-zinc, pochette et étiquettes imprimées sur carton et papier FSC, encre vegan. Les presses sont alimentées par de l’énergie verte (gaz & solaire) produite par des fournisseurs locaux. Les expéditions se font dans des emballages durables avec des transporteurs neutres en carbone

Je précommande mon vinyle écologique en édition limitée !

Uzul – Influences multiples

Uzul; evolve; photo; sea horse

© Joris Couronnet

Au début des années 1995, après avoir été chanteur dans les groupes Kaly Reggae Dub et High Tone, il est l’un des membres fondateurs du mythique groupe lyonnais Kaly Live Dub, au sein duquel il est affecté au sampler et aux effets. Après un premier side-project en 2007, Uzul démultiplie les sorties en solo sur bon nombre de labels européens. En parallèle, il fonde le duo breakbeat Hybrid Sound System. Ce compositeur hors norme à la musicalité sans faille crée également la formation hip hop noise Uzul Prod. Puis, plus récemment 4GetMeNot, projet à l’esthétique techno et UK bass. En 2014, il s’associe à un autre maestro, Molécule, et forme le duo Granit pour un EP 4 titres.

Ce touche à tout, curieux à la créativité intarissable est, depuis ses débuts, un précurseur en terme de technique. En 1998 déjà, il fait partie des premiers musiciens à utiliser un Atari 1040ST ainsi que Cubase. A l’époque, il achète son premier sampler, l’associe à ce séquenceur et crée un live machines, une prouesse pour l’époque ! La capacité mémoire étant ultra limitée, il crée tout en temps réel, ce qui lui confère une manière de jouer beaucoup plus vivante.

La technique mais pas que, Uzul est également un pionnier en terme d’esthétiques musicales. Il succombe à l’attraction du dubstep dès que ce dernier commence à s’exporter des banlieues londoniennes. Très vite, il s’impose en solo comme l’un des rares performeurs live de la scène dubstep et se fait remarquer par la crème des producteurs d’outre-manche avec qui il partage régulièrement l’affiche. En 2009, le prodige Skream le gratifie d’un remix pour « Under Pressure », saluant ainsi un artiste hyperactif unique en son genre.

Ce savoir-faire et cette longueur d’avance, on la retrouve dans sa musique comme dans ses lives. Aujourd’hui il propose un live composé sur Ableton Live qu’il combine à de l’analogique. Le résultat est époustouflant, aucun de ses lives ne se ressemblent puisqu’il créé en temps réel.

Prêts, feu… partez ! La campagne de précommande pour le vinyle d’Uzul est lancée ! C’est une édition ultra limitée, seules 150 copies sont disponibles en précommande, réserve la tienne dès maintenant avant qu’il ne soit trop tard ! Tu recevras ton vinyle en avant-première aux alentours du 15 mai prochain. Et comme on croit au pouvoir de la musique pour incarner et soutenir la transformation culturelle nécessaire à un avenir durable ce vinyle est écologique* ! Nous avons besoin de votre soutien pour que ce projet voit le jour. Je précommande mon vinyle sur Diggers Factory.

Uzul, Evolve, vinyle, précommande, édition limitée

Cette année, Uzul sort son premier album solo Evolve, aux accents techno et bass music sur notre label Jarring Effects. Un disque écologique haut en couleurs qui abolit les frontières entre les esthétiques musicales.

Au début des années 1995, après avoir été chanteur dans les groupes Kaly Reggae Dub et High Tone, il est l’un des membres fondateurs du mythique groupe lyonnais Kaly Live Dub, au sein duquel il est affecté au sampler et aux effets. Après un premier side-project en 2007, Uzul démultiplie les sorties en solo sur bon nombre de labels européens. En parallèle, il fonde le duo breakbeat Hybrid Sound System. Ce compositeur hors norme à la musicalité sans faille crée également la formation hip hop noise Uzul Prod. Puis, plus récemment 4GetMeNot, projet à l’esthétique techno et UK bass. En 2014, il s’associe à un autre maestro, Molécule, et forme le duo Granit pour un EP 4 titres.

Ce touche à tout curieux à la créativité intarissable est, depuis ses débuts, un précurseur en terme de technique. En 1998 déjà, il fait partie des premiers musiciens à utiliser un Atari 1040ST ainsi que Cubase. A l’époque, il achète son premier sampler, l’associe à ce séquenceur et crée un live machines, une prouesse pour l’époque ! La capacité mémoire étant ultra limitée, il crée tout en temps réel, ce qui lui confère une manière de jouer beaucoup plus vivante.

La technique mais pas que. Uzul est également un pionnier en terme d’esthétiques musicales. Il succombe à l’attraction du dubstep dès que ce dernier commence à s’exporter des banlieues londoniennes. Très vite, il s’impose en solo comme l’un des rares performeurs live de la scène dubstep et se fait remarquer par la crème des producteurs d’outre-manche avec qui il partage régulièrement l’affiche. En 2009, le prodige Skream le gratifie d’un remix pour Under Pressure, saluant ainsi un artiste hyperactif unique en son genre.

Ce savoir-faire et cette longueur d’avance, on la retrouve dans sa musique comme dans ses lives. Aujourd’hui il propose un live composé sur Ableton Live qu’il combine à de l’analogique. Le résultat est époustouflant, aucun de ses lives ne se ressemblent puisqu’il créé en temps réel.

Avec plus de 11 maxi au compteur, l’envie d’un album solo a germé dans l’esprit d’Uzul. Le résultat ? Onze titres surprenants qui cassent les codes et qui retracent l’évolution de sa musique, de sa vie et de ses influences. Avec Evolve, il nous offre un disque résolument bass music et techno dans lequel sont distillés ses multiples influences, du dub au dubstep en passant par la UK bass, la tech-house ou encore le trip hop.

*Uzul inaugure une collection de vinyle écologique ! Il s’agit d’un disque composé de granulés à base de calcium-zinc, pochette et étiquettes imprimées sur carton et papier FSC, encre vegan. Les presses sont alimentées par de l’énergie verte (gaz & solaire) produite par des fournisseurs locaux. Les expéditions se font dans des emballages durables avec des transporteurs neutres en carbone.

Initialement machiniste dans le célèbre groupe de dub Kaly Live Dub, Uzul a participé à de nombreux projets novateurs autour de la bass-music tout au long de ses 20 ans d’activisme musical. Aujourd’hui il s’apprête à sortir son premier album solo sur notre label. 
Uzul; evolve; photo; presse

©Joris Couronnet

Défenseur de la bass music depuis une vingtaine d’années, Uzul fait ses débuts (composition, sample et machine) au sein du groupe Kaly Live Dub, pionnier de la scène Dub en france aux côtés de High Tone. Il participe aussi parallèlement à plusieurs projets musicaux novateurs comme le duo Hybrid Sound system ou encore le groupe Uzulprod véritable ovni de la scène dub électronique française, au carrefour entre hip hop et dub atmosphérique. En 2014  il fonde sur le label Slab Note le duo GraniT avec son pote Molécule.

Après s’être consacré en solo depuis 2009 au dubstep et plus récemment à la musique trap, il fait son retour sur scène en 2019, en signant une série d’EPs nommée Back in Dub sur le label Odg Prod. EPs pour lesquels il retourne à son premier amour le dub ! Ces nouveaux opus, au mixage sophistiqué, regroupent toutes les techniques qui ont fait la renommée de ce style, techniques qu’il enseigne d’ailleurs au sein du centre de formation E.M.I.L en tant que premier formateur de dub musique de l’hexagone.

Ce touche à tout, curieux à la créativité intarissable est, depuis ses débuts, un précurseur en terme de technique. En 1998 déjà, il fait partie des premiers musiciens à utiliser un Atari 1040ST ainsi que Cubase. A l’époque, il achète son premier sampler, l’associe à ce séquenceur et crée un live machines, une prouesse pour l’époque ! La capacité mémoire étant ultra limitée, il crée tout en temps réel, ce qui lui confère une manière de jouer beaucoup plus vivante.

Son album Evolve verra le jour en avril 2021. Il sera composé de 11 titres aux accents techno qui cassent les codes et qui retracent l’évolution de sa musique, de sa vie et de ses influences. Tiens-toi prêt, on te sort un premier single le 4 mars prochain!

Précommande du vinyle ici, édition limitée – version écologique*

*Uzul inaugure une collection de vinyle écologique ! Il s’agit d’un disque composé de granulés à base de calcium-zinc, pochette et étiquettes imprimées sur carton et papier FSC, encre vegan. Les presses sont alimentées par de l’énergie verte (gaz & solaire) produite par des fournisseurs locaux. Les expéditions se font dans des emballages durables avec des transporteurs neutres en carbone.

L’EP Unplugged d’Eustache McQueer est maintenant disponible en CD digipack ! Au sein d’une épopée néo soul et folk envoûtante, le duo t’emmène dans un voyage introspectif autour de la culture queer aux quatre coins du monde.CD; Unplugged; EMQAprès la signature de leur premier album Lake Pearl en 2019 sur Jarring Effects, le duo Eustache McQueer change de registre et explore les compositions guitare et le chant en version acoustique.

 

 

C’est toujours avec l’idée d’interpeller et d’émouvoir son public que le duo s’empare d’une guitare classique d’un côté et d’une voix brute, sans retouche, de l’autre. Avec des références musicales allant des sonorités bossa chaloupées aux lieders allemands. La musicalité subtile des compositions de Laurent Dratler accompagne la voix de Joël Defrance. Un album acoustique attentionné et ponctué de récits allant de l’intime au collectif, avec des chansons qui racontent des histoires d’amour plurielles, de révolte ou d’errance.
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De cette complicité évidente se dégage un univers de sensations cosmiques et mélancoliques, propre à l’esthétique queer d’Eustache McQueer. Une ode à la sensualité simple et libre.

 

Avec une sortie triomphante le 13 novembre sur toutes les plateformes de streaming, le projet Les Mamans du Congo & RROBIN a véritablement conquis le public et la presse. Les titres ont été diffusés dans les playlists et sur les radios du monde entier. La version physique de l’album, dont la sortie avait été retardée à cause de la situation sanitaire, sera finalement disponible à partir du 11 décembre !

« Une nouvelle vague féministe dans le chant africain »  – Le Monde 

« Les Mamans du Congo et Rrobin célèbrent le «matrimoine» » – RFI 

« Les Mamans du Congo, le groupe afroféministe qui célèbre les chansons du matrimoine » – Télérama

Depuis la sortie du premier single Boum le 15 juillet dernier on entend Les Mamans du Congo & RROBIN résonner partout autour du globe. Radio Nova, France Inter, FIP… personne n’a su résister aux cinq mamans et au beatmaker lyonnais. Le grand Gilles Peterson n’a pas fait exception en diffusant le titre Boum dans son podcast sur la BBC.

Consulter la revue de presse ici 

les Mamans du Congo; Congo; photo, CD et vinyle

© Flore Onissah

Pour celles et ceux qui n’auraient pas encore entendu parler du projet, Les Mamans du Congo est un groupe congolais composé de cinq femmes qui chantent des berceuses traditionnelles de leur pays. Mené par la chanteuse et percussionniste Gladys Sambale groupe évoque de nombreuses thématiques chères à la population congolaise : de l’émancipation des femmes face à la société patriarcale aux difficultés des personnes qui abandonnent leurs villages et leurs proches pour trouver du travail, en passant par des légendes traditionnelles revisitées.

Rrobin; photo; jarring effects, CD et vinyle

© Tania Guerrero

C’est en 2019, à l’initiative de l’Institut Français du Congo, de la Coopérative de Mai et du label Jarring Effects que Les Mamans du Congo rencontrent le producteur et beatmaker français RROBIN. Le projet Les Mamans du Congo & RROBIN était né, nous proposant un délicieux mélange entre chants et percussion traditionnels congolais et beats hip-hop et électroniques.

Après avoir conquis le public et les médias, l’album arrivera en version physique à partir du 11 décembre prochain. Il est déjà disponible en précommande ici. Une excellente idée cadeau pour ensoleiller votre Noël 2020 !

Après avoir reçu une véritable ovation de la presse nationale et internationale pour les trois premiers singles Boum, Bordel de Rap et Ngaminke , Les Mamans du Congo & RROBIN dévoilent leur premier album vendredi 13 novembre prochain sur toutes les plateformes digitales. Malheureusement, au vu de la situation actuelle il faudra attendre le 11 décembre pour se procurer les versions CD et vinyle de l’album déjà disponibles en précommande sur Bandcamp

 

« Ce groupe afro-féministe scande le quotidien des congolaises sur des rythmiques explosives » Le Monde

 

« Des femmes inspirantes et modernes qui donnent envie de regarder l’avenir sans se soucier des traditions, qu’elles s’approprient avec bon sens et créativité. » Pan African Music

 

« Le tube de l’été » FIP

 

> Découvrez la revue de presse complète des Mamans du Congo et Rrobin <

Dirigé par la chanteuse et percussionniste charismatique Gladys Samba les cinq mamans chantent en Lari l’histoire de leur peuple ainsi que le quotidien de la femme congolaise en le mettant en musique sur des rythmiques complexes jouées avec des fourchettes, assiettes, paniers, pilons et matériel de récupération.

C’est il y a deux ans que l’Institut Français du Congo, la Coopérative de Mai et le label Jarring Effects mettent en relation le groupe Les Mamans du Congo et RROBIN. Le collectif de femmes rencontre alors le producteur et beatmaker français, RROBIN, spécialiste des beats hip-hop et house. Le projet Les Mamans du Congo & RROBIN était né.

Rrobin label Galant Records de Jarring Effects

Après leurs trois premiers singles : Boum, Bordel de Rap et Ngaminke, le premier album sortira le 13 novembre prochain, une rencontre unique entre les berceuses bantu du Congo et des instruments traditionnels DIY le tout mis en musique par le beatmaker RROBIN.

À travers les 9 pistes de l’album les artistes traitent de nombreux sujets chères à la population congolaise. Des difficultés des personnes abandonnant leurs villages et leurs proches pour trouver du travail à Brazzaville (Bordel de Rap) à l’émancipation des femmes face aux contraintes familiales et à la société patriarcale (Boum), Les Mamans du Congo & RROBIN luttent en mêlant habilement métaphores et textures sonores (Sans Pagne, Meki) pour proposer un mariage inédit entre l’univers du rap et l’héritage culturel Kongo. En puisant à la source de leur histoire et en revisitant les légendes souvent contées au bord du fleuve Congo (Ngaminke), le combo invite son peuple à persévérer (Nkala) et offre une véritable ode à la femme africaine (Perle Précieuse).

Après les singles Boum et Bordel de Rap qui ont enflammé la presse, Les Mamans du Congo & RROBIN nous dévoilent ce jeudi 22 octobre Ngaminke. Un troisième extrait qui va clairement te donner l’eau à la bouche avant la sortie de l’album le 13 novembre prochain. 

« Des berceuses bantoues interprétées avec fourchettes et percussions maison et rhabillées de house et de beats qui rafraîchissent l’oreille. » Télérama

 

« Ce groupe afro-féministe scande le quotidien des congolaises sur des rythmiques explosives »

Le Monde

 

« Des femmes inspirantes et modernes qui donnent envie de regarder l’avenir sans se soucier des traditions, qu’elles s’approprient avec bon sens et créativité. » Pan African Music

 

« Le tube de l’été » FIP

Dirigé par la chanteuse et percussionniste charismatique Gladys Samba, le groupe féminin Les Mamans du Congo voit le jour en 2018 à Brazzaville. Dans un projet où la danse fusionne avec les berceuses ancestrales Kongo, les cinq mamans chantent en Lari l’histoire de leur peuple ainsi que le quotidien de la femme congolaise en le mettant en musique sur des rythmiques complexes jouées avec des fourchettes, assiettes, paniers, pilons et matériel de récupération.

A l’initiative de l’Institut français du Congo, de la Coopérative de Mai et du label Jarring Effects, le collectif de femmes rencontre le producteur français RROBIN, spécialiste des beats hip-hop et
house. Beatmaker préféré de Grems, il s’intéressait déjà aux nouvelles voix urbaines africaines sur son premier album Déluge où le rappeur sud-africain Spoek Mathambo figurait parmi les invités. Après quelques EP tournés vers les musiques électroniques futuristes, le voici en octobre 2019 à Brazzaville aux côtés de Céline Frezza (co-directrice du label Jarring Effects, ingénieure du son et coordinatrice du fameux projet Nola Is Calling) pour un nouvelle aventure musicale se déroulant en République du Congo, initiée par Marie Audigier, directrice de l’Institut français du Congo.

À peine débarqués, ils rencontrent Maman Glad’ (Gladys Samba) dans son lieu culturel, Kudia, situé dans le quartier populaire de Bacongo, lieu de rendez-vous des artistes, musiciens, danseurs. Ils vont aussitôt imaginer un projet commun.

Pour lier l’univers onirique des Mamans du Congo avec les textures électroniques de RROBIN, Armel Malonga, bassiste du légendaire chanteur congolais ZAO, officie à la direction artistique du projet. Ce nouveau combo musical maquette en une dizaine de jours l’album, qui sera mixé et masterisé au mythique studio de Jarring Effects à Lyon, le Rumble Inn. Sur ce disque où les chœurs envoûtants revisitent la tradition de l’ancien royaume Kongo, les percussions électronisées et les sonorités grime des machines de RROBIN viennent porter les propos engagés de leur leadeuse Maman Gladys, qui alterne voix suave pour bercer et rap puissant pour conscientiser.

Les Mamans du Congo & RROBIN, NgaminkeSur ces productions hip-hop électroniques explosives, rythmées par les berceuses ancestrales et le flow percutant de Maman Gladys, le groupe évoque de nombreuses thématiques chères à la population congolaise. Après Boum qui militait pour l’émancipation des femmes face aux contraintes familiales et à la société patriarcale, Bordel de Rap dépeignait les difficultés des personnes abandonnant leurs villages et leurs proches pour trouver du travail à Brazzaville. Avec Ngaminke, Les Mamans du Congo & RROBIN puisent à la source de leur histoire et revisitent les légendes souvent contées au bord du fleuve Congo.  Rendez-vous jeudi prochain pour découvrir ce troisième single inédit !

 

Aujourd’hui, Eustache McQueer sort son nouvel EP Unplugged ! Au sein d’une épopée néo soul et folk envoûtante, le duo t’emmène dans un voyage introspectif autour de la culture queer aux quatre coins du monde. Pour cette occasion le chanteur à la voix de tête inimitable dévoile le clip du titre Ballad Of Lake Pearl, une ballade émouvante invitant à la rencontre mystique ou érotique.

Ecouter l’intégralité de l’EP   

Pour la sortie de leur EP Unplugged, le binôme revient sur l’agression homophobe qu’a subi le chanteur Joël Defrance dans un lieu de rencontre LGBTQI+, « La Perle du Lac », au bord du lac Léman à Genève. Son combat pour surmonter cette épreuve fût la musique. Eustache McQueer raconte cette lutte en la transposant au sein d’une chanson nostalgique articulée de parties lyriques et dotée d’une composition riche et pointue de Laurent Dratler (aka Virilio, guitariste et beatmaker du duo). Pour clôturer cette exploration des cultures queer du monde, Eustache McQueer propose un voyage initiatique dans un autre monde, un bois féerique. Ici, les rêves, les mystères, les prises de conscience et l’acceptation ne font qu’un. Le temps s’arrête littéralement. Pour ne pas s’égarer dans cette forêt, il ne reste qu’à se laisser guider par cet EP folk inédit.

C’est toujours avec l’idée d’interpeller et d’émouvoir son public que le duo s’empare d’une guitare classique d’un côté et d’une voix brute, sans retouche, de l’autre, avec des références musicales allant des sonorités bossa chaloupées aux lieders allemands. La musicalité subtile des compositions de Laurent Dratler accompagne la voix de Joël Defrance. Un album acoustique attentionné et ponctué de récits allant de l’intime au collectif, avec des chansons qui racontent des histoires d’amour plurielles, de révolte ou d’errance.

De cette complicité évidente se dégage un univers de sensations cosmiques et mélancoliques, propre l’esthétique queer d’Eustache McQueer. Une ode à la sensualité simple et libre.

Eustache McQueer continue de dévoiler son voyage introspectif autour de la culture queer aux quatre coins du monde en dévoilant Ode to Futu, quatrième extrait de leur nouvel EP Unplugged. Un clin d’œil à l’art du bondage japonais exprimé par ce morceau pop néo soul et folk entièrement acoustique.

Ecouter le single sur la plateforme digitale de mon choix

Après avoir mis en lumière le cake-crushing (Squeeze Me Like A German Cake), la résistance femminielli de Naples (Volkino) ou encore le Sehnsucht berlinois (Augenblick), le duo chante au sein de ce nouveau titre, la douleur salvatrice du shibari, une pratique de bondage japonais existante depuis le XVIème siècle. Un procédé qui consiste à se faire ligoter et suspendre pour atteindre un état de sérénité soignant le corps et l’âme. Cet “art des cordes” est ici transposé par la voix de tête de Joël Defrance qui, par une variation des timbres de sa voix et des textures, exprime l’intimité de la rencontre mais aussi la peur, la douleur et la douceur. Ce processus tortueux de guérison reflète également le vécu du chanteur, qui fut, il y a encore quelque temps, victime d’une agression homophobe. Avec Ode to Futu, le binôme remplace la cordelette nippone par la musique en proposant une échappée érotique onirique, subversive et confinée. Attention, ce plaisir ressenti par le shibari, tout comme l’EP représentent des risques d’addictions !

C’est toujours avec l’idée d’interpeller et d’émouvoir son public que le duo s’empare d’une guitare classique d’un côté et d’une voix brute, sans retouche, de l’autre, avec des références musicales allant des sonorités bossa chaloupées aux lieders allemands. La musicalité subtile des compositions de Laurent Dratler accompagne la voix de Joël Defrance. Un album acoustique attentionné et ponctué de récits allant de l’intime au collectif, avec des chansons qui racontent des histoires d’amour plurielles, de révolte ou d’errance. De cette complicité évidente se dégage un univers de sensations cosmiques et mélancoliques, propre l’esthétique queer d’Eustache McQueer. Une ode à la sensualité simple et libre.

Chaque semaine, Eustache McQueer dévoile un titre de son nouvel EP Unplugged. Au sein d’une épopée néo soul et folk envoûtante, le duo t’emmène dans un voyage introspectif autour de la culture queer aux quatre coins du monde. Aujourd’hui, la voix de tête onirique du chanteur Joël Defrance scande avec une dose d’humour, de résistance et de fétichisme Squeeze Me like A German Cake, le troisième titre de leur nouveau disque.

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Après les résistants femminielli de Naples abordés dans Volkino et le spleen germanique de Augenblick, Eustache McQueer nous fait découvrir le cake crushing, cette pratique fétichiste qui consiste à écraser et détruire des gâteaux avec des talons aiguilles. Habitué à en réaliser des démonstrations sur scène, le chanteur propose ici un tutoriel sur un groove néo-soul. Squeeze Me Like A German Cake, une ballade intimiste où le gâteau devient une métaphore : écraser les idées intolérantes et homophobes que combattait déjà le binôme dans leur album précédent (Lake Pearl). Une lutte dotée également d’optimisme et d’humour. Dans ce titre solaire, le duo conseille à l’auditeur de réaliser une forêt noire qui ressemblera à son rival, à vous d’imaginer qui sera votre crush !

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C’est toujours avec l’idée d’interpeller et d’émouvoir son public que le duo s’empare d’une guitare classique d’un côté et d’une voix brute, sans retouche, de l’autre. Avec des références musicales allant des sonorités
bossa chaloupées au lieders allemands. La musicalité subtile des compositions de Laurent Dratler accompagne la voix de Joël Defrance. Un album acoustique attentionné et ponctué de récits allant de l’intime au collectif, avec des chansons qui racontent des histoires d’amour plurielles, de révolte ou d’errance.
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De cette complicité évidente se dégage un univers de sensations cosmiques et mélancoliques, propre à l’esthétique queer d’Eustache McQueer. Une ode à la sensualité simple et libre. 

 

Après l’aventure electro-queer spatiale de leur disque Lake Pearl, le duo Eustache McQueer propose une suite du titre Queen Size en dévoilant Augenblick, deuxième extrait de leur nouvel EP Unplugged. Dans cette ballade intimiste entièrement acoustique, le chanteur Joël Defrance à la voix de tête inimitable se remémore ses souvenirs dans une ballade hypnotique aux accents folk, blues et soul.
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Après le souvenir de Naples évoqué dans Volkino, le premier extrait de ce nouveau disque, Joël Defrance chante ses années berlinoises dans Augenblick, un des titres les plus émouvants de cet EP.
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Le duo nous propulse dans un exil hypnotique sous la neige. C’est au sein de ce voyage hivernal onirique qu’Eustache McQueer chante son deuil : celui d’une rupture amoureuse et d’un moment de vie en Allemagne.
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La voix claire et parfois voilée d’Eustache fait résonner ce spleen germanique. À l’écoute, on imagine aisément l’aura de Franz Schubert flotter tout au long du morceau.
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C’est toujours avec l’idée d’interpeller et d’émouvoir son public que le duo s’empare d’une guitare classique d’un côté et d’une voix brute, sans retouche, de l’autre. Avec des références musicales allant des sonorités bossa chaloupées au lieders allemands. La musicalité subtile des compositions de Laurent Dratler accompagne la voix de Joël Defrance. Un album acoustique attentionné et ponctué de récits allant de l’intime au collectif, avec des chansons qui racontent des histoires d’amour plurielles, de révolte ou d’errance.
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De cette complicité évidente se dégage un univers de sensations cosmiques et mélancoliques, propre à l’esthétique queer d’Eustache McQueer. Une ode à la sensualité simple et libre. 

Volkino d’Eustache McQueer est enfin disponible sur toutes les plateformes digitales.
Rendez-vous mercredi 10 juin pour découvrir l’intégralité de leur nouvel EP Unplugged !

Ecouter le single sur une autre plateforme digitale

Volkino a été écrite dans un train bondé en rentrant de Naples. Cette chanson fait écho à la vie quotidienne des jeunes des quartiers populaires et à leur liberté. Elle décrit plus précisément la communauté des Feminielli, un groupe de jeunes adolescents transgenres qui vivent dans une forme d’autogestion plutôt violente dans la région de Naples.

Volkino, c’est une chanson militante, comme une promesse de vendetta contre la loi des hommes riches, les Padrones. Dans le refrain on accède au lieu secret de ces jeunes gens, les pentes du volcan où ils se retrouvent pour s’aimer à la nuit tombée au milieu des colonnes de fumée.

Petit-Bocalin avec Nicolas Repac pour architecte sonore est dispo sur toutes les plateformes digitales ! Balafons mandingues et mbira y portent le spoken-word de San-Go Jack qui raconte le combat de sa mère et le sien, sur la route de tous les dangers, de la Gambie à Paris. Ecouter en streaming

L’album Fleury sort le 24 avril en digital et le 5 juin en physique. En collaboration avec Mix et Métisse.

Le single « Renouvellement » de Bogota et Nicolas Repac est dispo sur toutes les plateformes digitales !

> Ecouter en streaming <

A mi-chemin entre rap, chanson et poésie, une parole libre sortie des murs de la prison de Fleury-Mérogis. L’album Fleury sort le 24 avril en digital et le 5 juin en physique. En collaboration avec Mix et Métisse.

Clip réalisé par les artistes de la prison de Fleury Mérogis et Arnaud NaBo alias Arnaud Grommier. Un spécial big up à Sensei 666, Maida, Brax, Bobby, Les, M.E.M, Wael G, le Dog, D16.

 

Le single « Solitude » de Noxbé et Nicolas Repac est disponible à partir d’aujourd’hui sur toutes les plateformes de streaming, fonce l’écouter !

L’album Fleury sort le 24 avril prochain en digital et le 5 juin en physique, en collaboration avec Mix et Métisse.

Un disque à mi-chemin entre documentaire sonore, rap et poésie… une parole libre sortie des murs de la prison de Fleury Mérogis avec pour architecte sonore Nicolas Repac.

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