A ces deux rééditions s’ajoutent 4 titres, d’où un total de 12 plages pour un album tout aussi réussi que le précédent, laissant place a un son plus roots mais qui reste dans le domaine de l’électro-dub. .
L’album s’ouvre sur Echo-Logik, un chant guerrier suivi d’une basse entrainante qui donne envie de bouger, sur lequel DJ twelve pose ses scratchs, le tout nous donnant un magnifique aperçu du talent des Lyonnais. S’ensuit le titre éponyme Bass Température, peut être le moins réussi du lot mais vu la qualité des autres on va pas s’en plaindre ! A noter, des samples de voix mystiques dans Train to Transylvania où il s’agit de vampire et de diable. Du gros son psyché dans N°1 Station avec un beat plus énergique et des passages à la limite de la hard-tek. Également d’autres influences comme l’ ambiance très orientale dans The Orientalist.
Comme a son habitude, High Tone nous livre un somptueux album dub qui ravira nos tympans fatigués de tout ces bruits parasites qui nous entourent.
Amoureux des musiques indie des années 60 à aujourd’hui, High Tone a toujours su digérer un panorama musical varié autant que les éléments technologiques clés de chacune de ces décennies : guitare wah des 70’s, synthès des 80’s, turntablism et sampler des 90’s et logiciels électro des années 2000.
Parce que dépasser le cadre du style pour ne parler que de musique a toujours été leur seul credo. High Tone a souvent alterné la typologie de ses disques entre expérimentation et maturation. Les 1ers opus étaient spontanés, sans recherche de maîtrise particulière, magmatiques, quand Wave Digger ou Out Back étaient des albums de changements.
Le présent album, s’inscrit dans la continuité du No border, le deuxième CD d’Out Back. Le thème premier d’Ekphrön est le voyage.
...A ces deux rééditions s'ajoutent 4 titres, d'où un total de 12 plages pour un album tout aussi réussi que le précédent, laissant place a un son plus roots mais qui reste dans le domaine de l'électro-dub. .
L'album s'ouvre sur Echo-Logik, un chant guerrier suivi d'une basse entrainante qui donne envie de bouger, sur lequel DJ twelve pose ses scratchs, le tout nous donnant un magnifique aperçu du talent des Lyonnais. S'ensuit le titre éponyme Bass Température, peut être le moins réussi du lot mais vu la qualité des autres on va pas s'en plaindre ! A noter, des samples de voix mystiques dans Train to Transylvania où il s'agit de vampire et de diable. Du gros son psyché dans N°1 Station avec un beat plus énergique et des passages à la limite de la hard-tek. Également d'autres influences comme l' ambiance très orientale dans The Orientalist.
Comme a son habitude, High Tone nous livre un somptueux album dub qui ravira nos tympans fatigués de tout ces bruits parasites qui nous entourent.
Amoureux des musiques indie des années 60 à aujourd’hui, High Tone a toujours su digérer un panorama musical varié autant que les éléments technologiques clés de chacune de ces décennies : guitare wah des 70’s, synthès des 80’s, turntablism et sampler des 90’s et logiciels électro des années 2000.
Parce que dépasser le cadre du style pour ne parler que de musique a toujours été leur seul credo. High Tone a souvent alterné la typologie de ses disques entre expérimentation et maturation. Les 1ers opus étaient spontanés, sans recherche de maîtrise particulière, magmatiques, quand Wave Digger ou Out Back étaient des albums de changements.
Le présent album, s’inscrit dans la continuité du No border, le deuxième CD d’Out Back. Le thème premier d’Ekphrön est le voyage. Au départ pensé comme celui, géographique, dont est empreint leur musique, le voyage est passé du macrocosme au microcosme, pour se focaliser sur l’expérience intérieure dont l’opus porte le nom.
Que se passe-t-il lorsqu’on ferme les yeux ? Littéralement du grec hors d’esprit, le titre renvoie à la transe que peut procurer la musique, ce moment de perte des sens communs, le point de rupture, le décrochage de la réalité, l’oubli de soi.