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Depuis deux ans, Revo irradie le grand ouest de ses bombes sonores. De nombreux concerts qui ont permis aux deux potes Morlaisiens de peaufiner leur art, une fusion géniale et sans concession d’électronique et de guitares acérées qu’ils figent enfin sur un premier album, le bien-nommé Artefacts/…
Un album qui brouille les pistes et brise les conventions. En franc-tireur de l’electro et du rock, le duo recherche, expérimente et déstabilise l’auditeur, confrontant ambiances électroniques subtiles et ombrageuses, à des montées en puissance vertigineuses sur fond de guitares noise. De fait, on ne sait plus trop où est le rock, où est l’électro dans ArteFacts/…, et alors ?
Bafouant les conventions établies, les douze morceaux alambiqués et narratifs dévoilent au fur et à mesure la bande son d’une série noire futuriste. Dès les trois premiers titres, la navette Artefacts/… propulse l’auditeur dans les méandres d’une électronique ciselée et tendue traversée d’éclairs de guitares et de boucles de synthé météorites (mcmlxxx, wire, evil raid). Les secousses opèrent sans relâche jusqu’à l’atterrissage sur une contrée post-industrielle fascinante et inquiétante plantant le décor de la seconde partie de l’album.
Plus qu’un simple groupe electro-rock, Revo s’intéresse à la narration. Sa musique pourtant instrumentale, ne peut se départir d’images et de sensations, ce qui la rend si nécessaire et précieuse. Ce brillant premier essai nous rappelle combien le sens, l’émotion et la profondeur sont des données indispensables à la survie d’un disque sur la longueur… C’est aussi par ses concerts que Revo s’est fait connaître.
...Depuis deux ans, Revo irradie le grand ouest de ses bombes sonores. De nombreux concerts qui ont permis aux deux potes Morlaisiens de peaufiner leur art, une fusion géniale et sans concession d'électronique et de guitares acérées qu’ils figent enfin sur un premier album, le bien-nommé Artefacts/…
Un album qui brouille les pistes et brise les conventions. En franc-tireur de l’electro et du rock, le duo recherche, expérimente et déstabilise l’auditeur, confrontant ambiances électroniques subtiles et ombrageuses, à des montées en puissance vertigineuses sur fond de guitares noise. De fait, on ne sait plus trop où est le rock, où est l’électro dans ArteFacts/…, et alors ?
Bafouant les conventions établies, les douze morceaux alambiqués et narratifs dévoilent au fur et à mesure la bande son d’une série noire futuriste. Dès les trois premiers titres, la navette Artefacts/… propulse l’auditeur dans les méandres d’une électronique ciselée et tendue traversée d’éclairs de guitares et de boucles de synthé météorites (mcmlxxx, wire, evil raid). Les secousses opèrent sans relâche jusqu’à l’atterrissage sur une contrée post-industrielle fascinante et inquiétante plantant le décor de la seconde partie de l’album.
Plus qu’un simple groupe electro-rock, Revo s’intéresse à la narration. Sa musique pourtant instrumentale, ne peut se départir d’images et de sensations, ce qui la rend si nécessaire et précieuse. Ce brillant premier essai nous rappelle combien le sens, l’émotion et la profondeur sont des données indispensables à la survie d’un disque sur la longueur… C’est aussi par ses concerts que Revo s’est fait connaître. Sur scène, le duo machine/guitare livre un set intense, télescope le public et déroule le scénario d'un voyage sonique entêtant. Vous pourrez constater la délagration sonore dont est capable de faire preuve l’intrépide duo. Une tournée est d’ailleurs prévue en compagnie des angevins de IDEM et des bretons de HortenV3 pour le second semestre 2008, à ne rater sous aucun prétexte.