Sorti en juin 2002, «Talk to the beat», donne en une quinzaine de morceaux une définition précise de ce qu’est l’élégance électronique. Un son rafiné se développe au fur et à mesure des morceaux : une drum’n’bass mâtinée d’électro hip-hop qui fait autant appel à Two Lone Swordsmen qu’à un Grand Master Flash version 2000. Passées les références, on entre dans un univers où le son s’adresse autant au corps qu’au cerveau, où les breaks sont virevoltant et les boucles malicieuses, «Talk to the Beat» ou l’anti musique répétitive…