Zar Electrik, c’est un trio marseillais, activistes de la scène méditerranéenne. La voix envoûtante aux influences maghrébines d’Anass Zine, accompagné de ses instruments traditionnels comme l’oud et le gumbri, se marie subtilement à la voix profonde d’Arthur Péneau. Ce dernier introduit ses influences africaines hybrides par sa kora qu’il mystifie avec des effets électriques. Le compositeur et producteur Did Miosine vient sublimer le tout. Il apporte sa connaissance et sa maîtrise des machines, des synthés et des codes de la musique électronique. La synthèse est explosive. A eux trois, ils créent une musique riche et généreuse, une traversée entre le Maghreb, l’Afrique Subsaharienne et l’Occident.
Zar Electrik, c’est un hommage aux cultures tribales. Le zar étant un rituel ancien venant d’Ethiopie et d’Egypte qui permet de soigner par la transe en accédant au monde des esprits. De la même façon, Zar Electrik nous plongent dans leur univers où la transe et la danse sont reines. Leur musique fait écho dans nos corps, les nappes électroniques ressemblent à des mantras, les voix à des invocations. Le tout s’apparente à un rite tribal et nous permet d’atteindre un état de conscience altéré. La musique de Zar Electrik se vit sur le dancefloor pour nous amener dans une transe rituelle libératrice et cathartique.
Après une tournée à succès comptant plus d’une soixantaine de dates en 2022, Zar Electrik sont bien décidés à continuer de nous faire danser ! En parallèle d’une nouvelle tournée en 2023, ils sortent leur premier EP intitulé Hawa. Six titres sous le signe de la communion festive.
L’intro sonne comme un cérémonial, elle nous permet de s’ouvrir sur le spirituel et introduit le côté narratif de l’EP pour laisser placer au premier titre Hawa, qui donne son nom à cet opus.
...Zar Electrik, c’est un trio marseillais, activistes de la scène méditerranéenne. La voix envoûtante aux influences maghrébines d’Anass Zine, accompagné de ses instruments traditionnels comme l’oud et le gumbri, se marie subtilement à la voix profonde d’Arthur Péneau. Ce dernier introduit ses influences africaines hybrides par sa kora qu’il mystifie avec des effets électriques. Le compositeur et producteur Did Miosine vient sublimer le tout. Il apporte sa connaissance et sa maîtrise des machines, des synthés et des codes de la musique électronique. La synthèse est explosive. A eux trois, ils créent une musique riche et généreuse, une traversée entre le Maghreb, l’Afrique Subsaharienne et l’Occident.
Zar Electrik, c’est un hommage aux cultures tribales. Le zar étant un rituel ancien venant d’Ethiopie et d’Egypte qui permet de soigner par la transe en accédant au monde des esprits. De la même façon, Zar Electrik nous plongent dans leur univers où la transe et la danse sont reines. Leur musique fait écho dans nos corps, les nappes électroniques ressemblent à des mantras, les voix à des invocations. Le tout s'apparente à un rite tribal et nous permet d’atteindre un état de conscience altéré. La musique de Zar Electrik se vit sur le dancefloor pour nous amener dans une transe rituelle libératrice et cathartique.
Après une tournée à succès comptant plus d’une soixantaine de dates en 2022, Zar Electrik sont bien décidés à continuer de nous faire danser ! En parallèle d’une nouvelle tournée en 2023, ils sortent leur premier EP intitulé Hawa. Six titres sous le signe de la communion festive.
L’intro sonne comme un cérémonial, elle nous permet de s’ouvrir sur le spirituel et introduit le côté narratif de l’EP pour laisser placer au premier titre Hawa, qui donne son nom à cet opus. Un titre poétique qui questionne les ancêtres sur la complexité de l’amour. On poursuit le voyage avec Sadiyé, une ode à la joie qui s’inspire des textes et musiques traditionnelles. Place ensuite à Ntiya, un titre qui s’ancre dans la ville de Marseille et qui illustre une nuit de perdition. Avant l’outro qui vient clôturer cet EP, Zar Electrik nous invite dans une dernière transe avec Merhaba, un medley curatif qui appelle au vivre ensemble.
Six titres qui racontent une histoire, dans leur structure musicale comme dans leurs paroles. Le résultat est fluide. Ça sonne comme une évidence, c’est ensorcelant, envoûtant, ça rassemble et ça fait du bien !
Ça tourne jusqu’à s’étourdir, ça bouillonne et tourbillonne dans des transes infinies aux échos d’Orient et aux grooves apatrides. Tu rejoins la fête des transes envoûtantes de
l’african electro ?