“Instinct” premier extrait de l’EP “Opera House“, une sortie prévue au premier février prochain. Une production lunaire et une puissance de super-saiyen, c’est tout ce qu’il fallait à Nelson Dialect, rappeur australien pour montrer l’étendue de ces capacités avec le producteur suédois, Architech.
Le premier single, nous permet d’introduire les précommandes, aussi bien sur Bandcamp (digital et vinyl) que sur iTunes (digital). On retrouve Nelson Dialect et son titre Instinct en collaboration avec Architech le premier février, ou bien lors de leurs concerts !
Un revival bâti à quatre mains avec le beatmaker Architech. Ensemble, ils ont conçu l’EP vinyle « Opera House », 6 tracks fumants dont un premier singleintitulé Instinct aux lyrics ciselés, un projet aux beats rugueux qui fleurent bon le savoir faire du rap US des années 90.
En février prochain Nelson Dialect traversera l’Atlantique pour venir secouer le vieux continent avec 6 titres à l’univers introspectif et aux ambiances hypnotiques, où planent les ombres bienveillantes des influences de Nelson, de BigPun à Earl Sweatshirt en passant par Roc Marciano. Le titre du disque « Opera House » est un clin d’œil à l’éponyme Opéra de Sydney, prouesse architecturale conçue par le danois Jørn Utzon.
Volontairement Nelson Dialect a pensé cette analogie comme référence à sa collaboration avec l’artificier sonore Architech, beatmaker également Danois et responsable des ambiances de cet opus. De ses samples choisis avec soin aux kicks tour à tour feutrés ou casse-nuques, Architech déploie tout son savoir pour bâtir avec Nelson Dialect un monument digne des meilleurs édifices sonores des 90S. On retiendra le sample du track « Welcome », déjà utilisé par Oxmo Puccino sur le classique… « Opéra Puccino ».
Avec « Opera House », Nelson Dialect boucle la boucle et propose une relecture moderne du son new-yorkais, sous la forme d’un projet impactant comme un coup de poing. Et il y’a fort à parier que la Vieille Europe lui tende l’autre joue.
Nelson Dialect carbure à la passion, entre rap, production et djing.
..."Instinct" premier extrait de l'EP "Opera House", une sortie prévue au premier février prochain. Une production lunaire et une puissance de super-saiyen, c'est tout ce qu'il fallait à Nelson Dialect, rappeur australien pour montrer l'étendue de ces capacités avec le producteur suédois, Architech.
Le premier single, nous permet d'introduire les précommandes, aussi bien sur Bandcamp (digital et vinyl) que sur iTunes (digital). On retrouve Nelson Dialect et son titre Instinct en collaboration avec Architech le premier février, ou bien lors de leurs concerts !
Un revival bâti à quatre mains avec le beatmaker Architech. Ensemble, ils ont conçu l’EP vinyle « Opera House », 6 tracks fumants dont un premier singleintitulé Instinct aux lyrics ciselés, un projet aux beats rugueux qui fleurent bon le savoir faire du rap US des années 90.
En février prochain Nelson Dialect traversera l’Atlantique pour venir secouer le vieux continent avec 6 titres à l’univers introspectif et aux ambiances hypnotiques, où planent les ombres bienveillantes des influences de Nelson, de BigPun à Earl Sweatshirt en passant par Roc Marciano. Le titre du disque « Opera House » est un clin d’œil à l’éponyme Opéra de Sydney, prouesse architecturale conçue par le danois Jørn Utzon.
Volontairement Nelson Dialect a pensé cette analogie comme référence à sa collaboration avec l’artificier sonore Architech, beatmaker également Danois et responsable des ambiances de cet opus. De ses samples choisis avec soin aux kicks tour à tour feutrés ou casse-nuques, Architech déploie tout son savoir pour bâtir avec Nelson Dialect un monument digne des meilleurs édifices sonores des 90S. On retiendra le sample du track « Welcome », déjà utilisé par Oxmo Puccino sur le classique... « Opéra Puccino ».
Avec « Opera House », Nelson Dialect boucle la boucle et propose une relecture moderne du son new-yorkais, sous la forme d’un projet impactant comme un coup de poing. Et il y’a fort à parier que la Vieille Europe lui tende l’autre joue.
Nelson Dialect carbure à la passion, entre rap, production et djing. Rapide flash-back dans les années 2000 dans la ville bouillonnante d’Adélaïde : un très jeune rookie affronte, dès qu’il en a l’occasion, d’autres rappeurs en battle. Il n’en faudra pas plus pour accoucher d’une légende : la force est avec lui car son flow est cinglant, nerveux et musclé, ses impros en battle remarquées par tous les hip-hop heads au pays des kangourous. Dès ses 13 ans Nelson est reconnu comme un incurable boulimique de son et collabore compulsivement avec de nombreux artistes. Ses premiers albums font un tel vacarme en Australie qu’il force le respect et se fait un nom jusqu’a se faire signer sur le label PANG productions, l’équivalent australien de High Focus ou Rawkus.
Titulaire d’une bourse d’étude en littérature, Nelson décide il y’a deux ans de partir aux Etats Unis pour ses études sans délaisser pour autant son avidité pour la musique. Au contraire, il profite de son séjour à la Mecque du Hip-hop pour confronter sa légende personnelle aux plus mythiques artisans du son boom-bap. De sa collaboration avec l’historique label indé Fatbeats à ses participations aux côté de Despair, personne ne reste indifférent au flow du jeune surdoué, comme si le climat australien épousait à merveille la grisaille bétonneuse de la Big Apple.