Oui, cela peut paraitre un peu cliché?! Mais tout de même on touche ici un peu à ce vieux rêve de philosophe chinois, cette dualité dans l’unicité, le yin et le yang. Il est rare pour nous de citer les dossiers de presse que l’on reçoit, mais nous allons le faire ici, car l’image utilisée pour décrire ce nouvel opus de l’artiste argentin intitulé Madera Sur est plutôt belle :
« Un voyage qui se veut aussi bien le relais du cri de la nature que de la voix éraillée de la ville arachnéenne. Canopée hermétique et milieu urbain bétonné s’entrechoquent, fulminent et se sondent pour enfin dévoiler son univers trad-électro atmosphérique. »
En live, Rumbo Tumba est un “homme-orchestre”. Instruments traditionnels et outils électroniques sont joués, enregistrés et mixés en temps réel, créant une atmosphère dansante, de vol et de mouvement. Les sons profonds de la basse et les batteries électroniques s’associent à l’enchantement sonore du charango et des instruments à vent, caractéristiques de la région des Andes.
Oui, cela peut paraitre un peu cliché?! Mais tout de même on touche ici un peu à ce vieux rêve de philosophe chinois, cette dualité dans l’unicité, le yin et le yang. Il est rare pour nous de citer les dossiers de presse que l’on reçoit, mais nous allons le faire ici, car l’image utilisée pour décrire ce nouvel opus de l’artiste argentin intitulé Madera Sur est plutôt belle :
« Un voyage qui se veut aussi bien le relais du cri de la nature que de la voix éraillée de la ville arachnéenne. Canopée hermétique et milieu urbain bétonné s’entrechoquent, fulminent et se sondent pour enfin dévoiler son univers trad-électro atmosphérique. »
En live, Rumbo Tumba est un “homme-orchestre”. Instruments traditionnels et outils électroniques sont joués, enregistrés et mixés en temps réel, créant une atmosphère dansante, de vol et de mouvement. Les sons profonds de la basse et les batteries électroniques s’associent à l’enchantement sonore du charango et des instruments à vent, caractéristiques de la région des Andes.