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Figure incontournable du Hip Hop sud-africain, Ben Sharpa est un electron libre louvoyant entre Hiphop, Grime, Dubstep et Dub.
Vétéran de la scène underground de Cape Town, Kgotso Semela s’impose hors des frontières de son pays dès sa première apparition, sa participation à la compilation Cape Town Beats en 2007. Suscitant l’intérêt médiatique, des prescripteurs comme l’animatrice de la BB1 Radio Mary-Anne Hobbs lui assure une belle couverture sur les ondes de France, Canada, UK, Allemagne, Hollande, Belgique.
Entre l’héritage classique du Hiphop US et le terrain de jeu accidenté du grime UK, le rappeur producteur vit ses textes conscients voire illuminés, et conçoit sa musique et sa représentation comme un sit in ou un spectacle plus que comme de simples concerts.
Les trois albums et la centaine de dates européennes de l’artiste soulèvent toujours autant d’enthousiasme médiatique et populaire, les retours montrant s’il était besoin que la musique d’origine sud africaine tient là un énergumène. Les plus grands festivals européens (Sziget, Glastonbury, Paléo, Printemps de Bourges) le programme, les titres presse reconnus comme Trax ou Tsugi pour l’électro apprécient, au même titre que les spés Hiphop (Rap Mag, Clark, Starwax), rock (Noise) ou World (Mondomix). Et les grands cross over comme Telerama, Rfi, Le Mouv’ ou Fluctua ne sont pas en reste, chacun trouvant dans le rappeur une profondeur artistique qui l’intrigue. Jamais complètement dancefloor, jamais laborieusement engagé, Ben Sharpa vient de loin, et ce n’est pas que géographique.
...Figure incontournable du Hip Hop sud-africain, Ben Sharpa est un electron libre louvoyant entre Hiphop, Grime, Dubstep et Dub.
Vétéran de la scène underground de Cape Town, Kgotso Semela s’impose hors des frontières de son pays dès sa première apparition, sa participation à la compilation Cape Town Beats en 2007. Suscitant l’intérêt médiatique, des prescripteurs comme l’animatrice de la BB1 Radio Mary-Anne Hobbs lui assure une belle couverture sur les ondes de France, Canada, UK, Allemagne, Hollande, Belgique.
Entre l’héritage classique du Hiphop US et le terrain de jeu accidenté du grime UK, le rappeur producteur vit ses textes conscients voire illuminés, et conçoit sa musique et sa représentation comme un sit in ou un spectacle plus que comme de simples concerts.
Les trois albums et la centaine de dates européennes de l’artiste soulèvent toujours autant d’enthousiasme médiatique et populaire, les retours montrant s’il était besoin que la musique d’origine sud africaine tient là un énergumène. Les plus grands festivals européens (Sziget, Glastonbury, Paléo, Printemps de Bourges) le programme, les titres presse reconnus comme Trax ou Tsugi pour l’électro apprécient, au même titre que les spés Hiphop (Rap Mag, Clark, Starwax), rock (Noise) ou World (Mondomix). Et les grands cross over comme Telerama, Rfi, Le Mouv’ ou Fluctua ne sont pas en reste, chacun trouvant dans le rappeur une profondeur artistique qui l’intrigue. Jamais complètement dancefloor, jamais laborieusement engagé, Ben Sharpa vient de loin, et ce n’est pas que géographique.