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Il est coutume pour un américain moyen de s’endetter auprès d’une banque pour s’offrir un magnifique écran plat ou un superbe canapé en cuir, mais BLEUBIRD préférera financer ainsi ses premières tournées américaines. Et il ne s’arrêtera jamais.
Originaire de Floride (Fort Lauderdale), c’est à Orlando en 1998 qu’il commet ses premiers méfaits, aux cotés de Swamburger, X-144, Signone, Filkoe 176, DJ SPS et Divinci. Disquaire avide le jour, MC la nuit, il organisera très régulièrement des soirées, créant localement un renouveau « alternatif ».
Car chaque soir c’est sur scène qu’il frôle la vie, celle chargée d’adrénaline, d’intensité et d’émotion, celle qui fait que nous nous sentons être. Il ne triche pas, devant 10 ou 2000 personnes il reste intègre, se livrant comme si chaque nuit était la dernière. Ce garçon est en constante évolution, remué, emportant avec lui quelques objets absurdes et ces lectures du moment, il se créé un chez lui à travers le monde.
Il reste empli de cet esprit révolutionnaire par lequel son pays s’est construit. Mais à l’inverse de ses concitoyens perdant petit à petit du vivant de la vie, il poursuit une forme de liberté, un confort de vie en mouvement, l’amenant à vivre 2 ans à Montréal puis 1 an à Berlin.
Ses choix neutralisent sa stabilité, et les relations qu’il développe se transforment petit à petit en une communauté dévouée à un amour sans faille d’obscures formes d’expression musicale. Que cela soit à Montréal où il participa au Moondata Labprojects Sessions (collectif où apparaissaient régulièrement Patrick Watson, Vid Cousins, Matt lederman, Norsola (God Speed you Black Emperor), DJ P-Love, and Stefan Schneider (Belle Orchestra) à Berlin avec Prinzenallee (indus hip hop), en France au côte d’X MAKEENA avec lesquels il tourna régulièrement ou encore au sein du collectif GUNPORN (avec Zucchini Drive et Nomad).
...Il est coutume pour un américain moyen de s’endetter auprès d’une banque pour s’offrir un magnifique écran plat ou un superbe canapé en cuir, mais BLEUBIRD préférera financer ainsi ses premières tournées américaines. Et il ne s’arrêtera jamais.
Originaire de Floride (Fort Lauderdale), c’est à Orlando en 1998 qu’il commet ses premiers méfaits, aux cotés de Swamburger, X-144, Signone, Filkoe 176, DJ SPS et Divinci. Disquaire avide le jour, MC la nuit, il organisera très régulièrement des soirées, créant localement un renouveau « alternatif ».
Car chaque soir c’est sur scène qu’il frôle la vie, celle chargée d’adrénaline, d’intensité et d’émotion, celle qui fait que nous nous sentons être. Il ne triche pas, devant 10 ou 2000 personnes il reste intègre, se livrant comme si chaque nuit était la dernière. Ce garçon est en constante évolution, remué, emportant avec lui quelques objets absurdes et ces lectures du moment, il se créé un chez lui à travers le monde.
Il reste empli de cet esprit révolutionnaire par lequel son pays s’est construit. Mais à l’inverse de ses concitoyens perdant petit à petit du vivant de la vie, il poursuit une forme de liberté, un confort de vie en mouvement, l’amenant à vivre 2 ans à Montréal puis 1 an à Berlin.
Ses choix neutralisent sa stabilité, et les relations qu’il développe se transforment petit à petit en une communauté dévouée à un amour sans faille d’obscures formes d’expression musicale. Que cela soit à Montréal où il participa au Moondata Labprojects Sessions (collectif où apparaissaient régulièrement Patrick Watson, Vid Cousins, Matt lederman, Norsola (God Speed you Black Emperor), DJ P-Love, and Stefan Schneider (Belle Orchestra) à Berlin avec Prinzenallee (indus hip hop), en France au côte d’X MAKEENA avec lesquels il tourna régulièrement ou encore au sein du collectif GUNPORN (avec Zucchini Drive et Nomad).
Il croisera également le fer avec Deerhoof, Battles, Masta Ace, Fatlip, Amon Tobin, Kid Koala, Otto Von Schirach, De Bug, Dalek, Lightning Bolt, Anti Pop Consortium, Mike Ladd, Xiu Xiu ou encore un poster de 50cents… sur les scènes américaines, mais également en Europe et au Japon.
Il ne sera pas non plus surprenant de le voir programmé sur des festivals comme celui de Jazz à Montreux (aux côtés de Ieo Tardin), ou de le voir débarquer en Inde (Mumbai) ou en Jordanie pour une prestation plus que symbolique (le 4 juillet, anniversaire de l’indépendance américaine, à Amman)
Ses écrits nous montrent du doigt une parcelle du monde. L’Amérique, sa culture, ses décors, son absurdité, son côté spectaculaire, effrayant et hilarant.
BLEUBIRD en fait partie, il est au bout du compte la réflexion de ce spectacle. Sarcastique, critique dans ses propos et comédien né au cynisme abrasif, il décrit le monde qui l’entoure et sa situation avec (auto)dérision.
Longtemps affilié à la scène « anticon » (ce sont effectivement des amis de longue date), BLEUBIRD se démarque de ses pairs et ses collaborations musicales se durcissent par une approche plus bruitiste, reflet d’une époque à l’atmosphère de plus en plus suffocante…
Ses décisions convergeront toujours vers la musique, sa façon de sortir la tête du lot, de se sentir exister. Ce qu’il est capable de faire, de donner mais aussi de recevoir sur scène n’est comparable à rien d’autre. Dépendant, il ne changera pour rien au monde, au contraire…
Aucun album.