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Si la qualité d’un groupe est proportionnelle à la difficulté qu’on éprouve à l’étiqueter, alors IDEM est sans nul doute un groupe de très grande qualité. Dub urbain ? Indus organique? Electro-noize ? Heavy Ambient ? Free Rock ? Vous vous ferez votre propre opinion… Quoi qu’il en soit, vous ne pourrez que saluer lmmense originalité de ce trio nantais dont le talent a déjà été maintes fois souligné par les plus grands médias nationaux (Télérama, Libération, France Inter, RFI, Arte, Trax, Magic, Rock Sound, Coda Mag). Depuis 1999, ces trois hommes explorent les tréfonds de la conscience humaine tout en se nourrissant de ses paradoxes. Et parce que la tâche est complexe, IDEM a rapidement compris que son art nécessiterait de s’affranchir des frontières déjà connues, de sortir des conventions rassurantes. Plus qu’un simple groupe musical, le trio peut aujourd’hui s’enorgueillir d’être un véritable projet multimédia, où la force des images le dispute à la beauté des lumières. Le travail de scénographie et de vidéo-projection s’inspire ainsi du noir et blanc classieux du cinéma muet d’avant-guerre et des collages dadaïstes de Max Ernst pour un résultat des plus évocateurs.
Au départ associé à la scène post-hardcore française (Hint, Bästard, Portobello Bones), IDEM s’est peu à peu détaché de son évidente parenté avec ses grands frères pour s’en aller flirter avec des ambiances électroniques, certes toujours sombres, mais plus voluptueuses et rondes, à la Sofa Surfers ou Amon Tobin… Une musique capable des moments les plus suspicieusement calmes comme des accès de fureur les plus dévastateurs, comme une perpétuelle ondulation de l’âme entre hauteurs célestes et profondeurs abyssales, entre guitares aériennes et infrabasses souterraines.
...Si la qualité d’un groupe est proportionnelle à la difficulté qu’on éprouve à l’étiqueter, alors IDEM est sans nul doute un groupe de très grande qualité. Dub urbain ? Indus organique? Electro-noize ? Heavy Ambient ? Free Rock ? Vous vous ferez votre propre opinion… Quoi qu’il en soit, vous ne pourrez que saluer lmmense originalité de ce trio nantais dont le talent a déjà été maintes fois souligné par les plus grands médias nationaux (Télérama, Libération, France Inter, RFI, Arte, Trax, Magic, Rock Sound, Coda Mag). Depuis 1999, ces trois hommes explorent les tréfonds de la conscience humaine tout en se nourrissant de ses paradoxes. Et parce que la tâche est complexe, IDEM a rapidement compris que son art nécessiterait de s’affranchir des frontières déjà connues, de sortir des conventions rassurantes. Plus qu’un simple groupe musical, le trio peut aujourd’hui s’enorgueillir d’être un véritable projet multimédia, où la force des images le dispute à la beauté des lumières. Le travail de scénographie et de vidéo-projection s’inspire ainsi du noir et blanc classieux du cinéma muet d’avant-guerre et des collages dadaïstes de Max Ernst pour un résultat des plus évocateurs.
Au départ associé à la scène post-hardcore française (Hint, Bästard, Portobello Bones), IDEM s’est peu à peu détaché de son évidente parenté avec ses grands frères pour s’en aller flirter avec des ambiances électroniques, certes toujours sombres, mais plus voluptueuses et rondes, à la Sofa Surfers ou Amon Tobin… Une musique capable des moments les plus suspicieusement calmes comme des accès de fureur les plus dévastateurs, comme une perpétuelle ondulation de l’âme entre hauteurs célestes et profondeurs abyssales, entre guitares aériennes et infrabasses souterraines. Le trio sort bientôt son sixième disque avec Jarring Effects Label et prépare en conséquence un nouveau spectacle pour le défendre sur toutes les scènes de France et d’ailleurs. Les compositions se sont simplifiées, sans rien perdre de leur efficacité pour autant, et le groupe maîtrise plus que jamais son propos.
Ces bientôt dix années d’expérience et d’indépendance ont déjà permis à IDEM de partager l’affiche avec les plus grands noms hexagonaux et internationaux (cf. Mad Professor, Erik Truffaz, Ez3kiel, Zenzile, High Tone, Lab°, Hint, The Herbaliser, Hexstatic et tant d’autres) et de figurer au menu des festivals français les plus exigeants. Pourtant, cette nouvelle création porte encore plus haut l’étendard pluridisciplinaire. Bien difficile de savoir d’où vient ce frisson qui vous parcourt l’échine. De ces ascensions rythmiques inéluctables, du light show flamboyant de Stéphanie Sourisseau, de la voix sépulcrale de la diva gothique Isabelle «Pitch» Ortoli, invitée récurrente du trio Ou de ces projections maladives qui imprègnent durablement vos cortex. La musique de IDEM ne souffre aucune étiquette, n’essayons donc pas de lui en coller une qui serait fatalement contre-nature. Ceux qui voudront absolument trouver les traces d’une quelconque consanguinité pourront toujours chercher des indices du côté de Massive Attack, Erik Satie, Nine Inch Nails ou Mogwaï, parmi tant d’autres plus déroutants encore. Mais il est peut-être finalement plus explicite de dire que leurs travaux feraient une formidable bande son aux polars d’anticipation de Maurice G. Dantec, aux tableaux cinématographiques à tendance schizophrène du réalisateur américain David Lynch ou aux planches glacées du dessinateur Enki Bilal.
De la musique pour les yeux, des images pour les oreilles.