Le retour du Jarring Fest’ nous a laissé plein d’étoiles dans les yeux ! Un week-end de création haut en couleurs qui célébraient 27 ans d’audio-activisme. Revis ces trois jours de festival avec nous en vidéo.
La danse était au centre de ce 2ème jour de festival. La journée s’est ouverte avec des spectacles et activités en tout genre dédiées aux enfants. A la frontière entre le spectacle et la fête, le Bal des Minichoux a invité les enfants à un bal aux 100 rebondissements, à des jeux de rythmes et à des pas de danse endiablés. Des ateliers Seed Bombs et Légumes en Musique se sont déroulés tout au long de l’après-midi dans le parc de l’Autre Soie. Une agora animé par James Stewart a pris place dans l’après midi et questionnait la possibilité d’un échange interculturel entre nord/sud. Puis au fil de la soirée, de la musique hyper dansante s’est installée sous le chapiteau du CCO en commençant par le DJ James Stewart, suivi par le groupe afro-futuriste brésilien Sociedade Recreativa. L’effervescence de la scène afrobeats, électronique et hip-hop du continent africain s’est hautement incarnée par le fameux duo ghanéen FOKN Bois. Bien entendu, on n’oublie pas le duo de TAXI KEBAB qui a ambiancé la fin de soirée d’une main de maître avec leur musique électronique habitée par le spectre des racines Nord Africaines.
Pour le troisième et dernier jour du festival, la musique s’est associée aux mots. Au programme spoken words, spectacle jeune public et poésie électronique, sur le signe de l’échange et du partage. Cette belle journée a débuté sur un live-yoga, un concept unique proposé par Zéline où les mouvements et sensations viennent à nous grâce à l’écoute vibrante du son. Cette séance était suivi d’une agora sur comment repenser les modèles de vie citoyenne. La soirée fut rythmée par les mots avec Schvédranne qui a délivré sa poésie électronique unique en son genre. Puis avec le spectacle jeune public d’Iraka “Livingston 3.0” retraçant le parcours de cet oiseau atypique entre poésie et chanson française. Enfin, ce sont Fred Nevché & Ghost of Christmas et leur création “The Unreal Story of Lou Reed” qui ont clôt le festival en poursuivant la réflexion que mène le poète sur les icônes de la pop culture.