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Rapide flash-back dans les années 2000 dans la ville bouillonnante d’Adélaïde : un très jeune rookie affronte, dès qu’il en a l’occasion, d’autres rappeurs en battle. Il n’en faudra pas plus pour accoucher d’une légende : la force est avec lui car son flow est cinglant, nerveux et musclé, ses impros en battle remarquées par tous les hip-hop heads au pays des kangourous. Dès ses 13 ans Nelson est reconnu comme un incurable boulimique de son et collabore compulsivement avec de nombreux artistes. Ses premiers albums font un tel vacarme en Australie qu’il force le respect et se fait un nom jusqu’a se faire signer sur le label PANG productions, l’équivalent australien de High Focus ou Rawkus.
Titulaire d’une bourse d’étude en littérature, Nelson décide il y’a deux ans de partir aux Etats Unis pour ses études sans délaisser pour autant son avidité pour la musique. Au contraire, il profite de son séjour à la Mecque du Hip-hop pour confronter sa légende personnelle aux plus mythiques artisans du son boom-bap. De sa collaboration avec l’historique label indé Fatbeats à ses participations aux côté de Despair, personne ne reste indifférent au flow du jeune surdoué, comme si le climat australien épousait à merveille la grisaille bétonneuse de la Big Apple.
Ces deux dernières années, Nelson frappe fort avec une intrigante collaboration avec Alnitak Kid sous le nom de Photograph Your Aura ainsi qu’avec le déjà classique « Magnetism » réalisé avec le producteur Must Volkoff.
Rapide flash-back dans les années 2000 dans la ville bouillonnante d’Adélaïde : un très jeune rookie affronte, dès qu’il en a l’occasion, d’autres rappeurs en battle. Il n’en faudra pas plus pour accoucher d’une légende : la force est avec lui car son flow est cinglant, nerveux et musclé, ses impros en battle remarquées par tous les hip-hop heads au pays des kangourous. Dès ses 13 ans Nelson est reconnu comme un incurable boulimique de son et collabore compulsivement avec de nombreux artistes. Ses premiers albums font un tel vacarme en Australie qu’il force le respect et se fait un nom jusqu’a se faire signer sur le label PANG productions, l’équivalent australien de High Focus ou Rawkus.
Titulaire d’une bourse d’étude en littérature, Nelson décide il y’a deux ans de partir aux Etats Unis pour ses études sans délaisser pour autant son avidité pour la musique. Au contraire, il profite de son séjour à la Mecque du Hip-hop pour confronter sa légende personnelle aux plus mythiques artisans du son boom-bap. De sa collaboration avec l’historique label indé Fatbeats à ses participations aux côté de Despair, personne ne reste indifférent au flow du jeune surdoué, comme si le climat australien épousait à merveille la grisaille bétonneuse de la Big Apple.
Ces deux dernières années, Nelson frappe fort avec une intrigante collaboration avec Alnitak Kid sous le nom de Photograph Your Aura ainsi qu’avec le déjà classique « Magnetism » réalisé avec le producteur Must Volkoff. Sans oublier son travail, en parallèle, sur les beats du renommé Ray West ou avec le légendaire AG du crew D.I.T.C, sous l’étiquette Red Apples 45.
En février prochain Nelson Dialect traversera l’Atlantique pour venir secouer le vieux continent avec 6 titres à l’univers introspectif et aux ambiances hypnotiques, où planent les ombres bienveillantes des influences de Nelson, de BigPun à Earl Sweatshirt en passant par Roc Marciano. Le titre du disque « Opera House » est un clin d’œil à l’éponyme Opéra de Sydney, prouesse architecturale conçue par le Danois Jørn Utzon. Volontairement Nelson Dialect a pensé cette analogie comme référence à sa collaboration avec l’artificier sonore Architech, beatmaker également Danois et responsable des ambiances de cet opus. De ses samples choisis avec soin aux kicks tour à tour feutrés ou casse-nuques, Architech déploie tout son savoir pour bâtir avec Nelson Dialect un monument digne des meilleurs édifices sonores des 90S. On retiendra le sample du track «Welcome », déjà utilisé par Oxmo Puccino sur le classique... « Opéra Puccino ».
Avec « Opera House », Nelson Dialect boucle la boucle et propose une relecture moderne du son new-yorkais, sous la forme d’un projet impactant comme un coup de poing. Et il y’a fort à parier que la Vieille Europe lui tende l’autre joue.