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Conçu comme un documentaire électronique, Vox Populi s’adresse à ceux qui essaient de poser des questions pertinentes plutôt que de trouver des réponses conciliantes. On ne peut s’arranger avec la vérité de cet après guerre, modestement et humblement, Vox Populi tente de présenter un point de vue personnel et totalement subjectif sur la question : il faut regarder les choses en face et ne jamais baisser les yeux.
« As I Lay Dying vs Club Junkies », le premier album de Vox Populi est constitué de deux CD (un audio et un vidéo) synthétisant la performance réalisée en concert par ces duettistes. Celle-ci se déroule en deux parties. La première partie est sur le thème de l’après-guerre en Bosnie, c’est 130 photos couleurs en noir et blanc, retravaillées, animées, passées aux moulinettes numériques et vidéos; succession de séquences animées et d’images fixes qui sont comme autant de petites rêveries cruelles. Aline et Stupid Dog sont aux machines pour 30 minutes d’electro ambient noise assez sombre où Laurie Anderson côtoie My Bloody Valentine dans une noisy odyssée contant la disparition des gens, des images et finalement des sons…
La deuxième partie de l’album louche vers une techno/electro sans concession et des séquences d’images colorées à vocation plus esthétique. Une conception du dancefloor plus proche des raves que des free-parties pour un retour aux fêtes d’il y a quelques années où l’on pouvait danser sans perdre ses tympans et son cerveau.
...Conçu comme un documentaire électronique, Vox Populi s’adresse à ceux qui essaient de poser des questions pertinentes plutôt que de trouver des réponses conciliantes. On ne peut s’arranger avec la vérité de cet après guerre, modestement et humblement, Vox Populi tente de présenter un point de vue personnel et totalement subjectif sur la question : il faut regarder les choses en face et ne jamais baisser les yeux.
« As I Lay Dying vs Club Junkies », le premier album de Vox Populi est constitué de deux CD (un audio et un vidéo) synthétisant la performance réalisée en concert par ces duettistes. Celle-ci se déroule en deux parties. La première partie est sur le thème de l’après-guerre en Bosnie, c’est 130 photos couleurs en noir et blanc, retravaillées, animées, passées aux moulinettes numériques et vidéos; succession de séquences animées et d’images fixes qui sont comme autant de petites rêveries cruelles. Aline et Stupid Dog sont aux machines pour 30 minutes d’electro ambient noise assez sombre où Laurie Anderson côtoie My Bloody Valentine dans une noisy odyssée contant la disparition des gens, des images et finalement des sons…
La deuxième partie de l'album louche vers une techno/electro sans concession et des séquences d’images colorées à vocation plus esthétique. Une conception du dancefloor plus proche des raves que des free-parties pour un retour aux fêtes d’il y a quelques années où l’on pouvait danser sans perdre ses tympans et son cerveau.
Une exclusivité signée Jarring Effects.