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Ce mélange des genres qu’elle pratique, offre un style unique qu’elle appelle « Voodoo Music », passerelle entre l’ancien et le nouveau, la passé et le présent, et à travers lequel elle exprime avec fierté sa connexion africaine au monde occidental. Souvent comparée à des légendes comme Grace Jones, Miriam Makeba ou encore Nina Simone, Azizaa a déjà eu l’occasion de collaborer avec des artistes de renom, à l’image de Rick Ross, Buju Banton, Fabolous, ou Beenie Man.
C’est sur scène que la musique d’Azizaa Mystic prend tout son sens, sa présence mélange énergie mystique et tribale. L’émotion qui se dégage de ses lives offre un spectacle aussi bien visuel que sonore. Tenues et maquillages traditionnels, l’artiste et son groupe transmettent avec passion la culture et l’esprit vodou.
Voilà près de trois ans maintenant que la chanteuse ghanéenne Azizaa Mystic surprenait avec « Black Magic Woman », un titre qui révélait une fusion singulière d’afro-beats, de soul mystique, plongée dans un bain de rave underground et de cérémonies vaudous. L’artiste continue de dévoiler son univers hypnotique avec nouvel album « Vodua » prévue pour le 26 octobre 2018 sur le label français Jarring Effects.
Tout au long de l’album, Azizaa nous embarque dans les contrées du sud-est ghanéen, terre de magie et de vaudou, d’où est originaire son ethnie, les Anlo Ewe.
Ce mélange des genres qu’elle pratique, offre un style unique qu’elle appelle « Voodoo Music », passerelle entre l’ancien et le nouveau, la passé et le présent, et à travers lequel elle exprime avec fierté sa connexion africaine au monde occidental. Souvent comparée à des légendes comme Grace Jones, Miriam Makeba ou encore Nina Simone, Azizaa a déjà eu l’occasion de collaborer avec des artistes de renom, à l’image de Rick Ross, Buju Banton, Fabolous, ou Beenie Man.
C’est sur scène que la musique d’Azizaa Mystic prend tout son sens, sa présence mélange énergie mystique et tribale. L’émotion qui se dégage de ses lives offre un spectacle aussi bien visuel que sonore. Tenues et maquillages traditionnels, l’artiste et son groupe transmettent avec passion la culture et l’esprit vodou.
Voilà près de trois ans maintenant que la chanteuse ghanéenne Azizaa Mystic surprenait avec « Black Magic Woman », un titre qui révélait une fusion singulière d’afro-beats, de soul mystique, plongée dans un bain de rave underground et de cérémonies vaudous. L’artiste continue de dévoiler son univers hypnotique avec nouvel album « Vodua » prévue pour le 26 octobre 2018 sur le label français Jarring Effects.
Tout au long de l’album, Azizaa nous embarque dans les contrées du sud-est ghanéen, terre de magie et de vaudou, d’où est originaire son ethnie, les Anlo Ewe. Arborant sa tenue de prêtresse animiste, elle est guidée par l’esprit de Mawu (déesse créatrice chez les Ewé) et est prête à faire face aux prêcheurs abusifs tout en nous invitant à la danse. Dès les premières notes, les mélodies traditionnelles et modernes se mélangent. La musique est inclassable et est imprégnée d’une sensualité terrifiante, ce morceau est une ode aux femmes, à leur pouvoir et à leur sexe. Azizaa chante et scande en langue ewe et en anglais la puissance des femmes et les valeurs du vaudou. Avec sa voix soul envoutante et son flow rap, elle dénonce les abus du christianisme en Afrique et les clivages sociaux au Ghana.
A la production du titre « Voodoo Pussy » et de « Black Magic Woman », on retrouve un autre ovni la musique ghanéenne, le rappeur afro-gypsy, Wanlov the Kubolor – membre du duo hip-hop électro FOKN Bois. Azizaa fait partie de cette nouvelle génération d’artistes ghanéens mêlant les sons ancestraux aux sonorités électroniques contemporaines. Dans cet album, le rythme Agbadza de l’ethnie Ewe ou l’Adowa des Ashanti côtoient habilement les beats de la TR 808, à l’afro-pop et la nu-trap.
Cet album féministe et électrisant ramène le vaudou à sa vraie place, loin des clichés longtemps véhiculés par le cinéma hollywoodien.
Avec Vodua (qui signifie « la Divinité »), Azziza Mystic condamne les différents abus des monothéismes et des politiques en Afrique et replace au premier plan l’origine du monde… Oui c’est bien ce que vous êtes en train d’imaginer ! Voodoo Pussy !