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Live band de 7 personnes orienté electro hip hop, Cape Town Effects est une création 2013 dans le cadre de la saison interculturelle Sud Africaines en France du 1er mai au 31 décembre 2013. Ce projet s’est vu enregistré au Cap en Janvier dernier avec l’aide Céline « L’Enfant » Frezza, ingénieur son du Studio Jarring Effects suite à une longue collaboration de plus de 10 ans entre Jarring Effects et Pioneer Unit.
Les productions sont assurés par Led Pipperz (High Tone crew), D Planet (Pure Solid/ZA), Big Space (Schlactofbronx, Spoek Mothambo). 3 MCs assurent le show et Tebz (soeur de Ben Sharpa) apporte la finesse d’un violoncelle au projet. Sur scène, c’est un véritable spectacle où les MCs s’accordent avec le VJ. Le tout forme un projet hip-hop et electro sur fond d’activisme et conscience politico-culturelle.
Symbole de ce cross over musical et ideologique, les MC’s s’expriment en trois langues différentes : l’Afrikaan, langue des anciens colons, le Xhosa, dialecte du pays, et l’anglais, toutes trois utilisees en Afrique du Sud.
Live band de 7 personnes orienté electro hip hop, Cape Town Effects est une création 2013 dans le cadre de la saison interculturelle Sud Africaines en France du 1er mai au 31 décembre 2013. Ce projet s’est vu enregistré au Cap en Janvier dernier avec l’aide Céline « L’Enfant » Frezza, ingénieur son du Studio Jarring Effects suite à une longue collaboration de plus de 10 ans entre Jarring Effects et Pioneer Unit.
Les productions sont assurés par Led Pipperz (High Tone crew), D Planet (Pure Solid/ZA), Big Space (Schlactofbronx, Spoek Mothambo). 3 MCs assurent le show et Tebz (soeur de Ben Sharpa) apporte la finesse d’un violoncelle au projet. Sur scène, c’est un véritable spectacle où les MCs s’accordent avec le VJ. Le tout forme un projet hip-hop et electro sur fond d’activisme et conscience politico-culturelle.
Symbole de ce cross over musical et ideologique, les MC’s s’expriment en trois langues différentes : l’Afrikaan, langue des anciens colons, le Xhosa, dialecte du pays, et l’anglais, toutes trois utilisees en Afrique du Sud.
Suite logique de ces collaborations, l’idée de produire un album composé en commun par des musiciens français et sud africains prend corps à l’occasion du mixage de l’album 4DLS au studio Jarring Effects, au printemps 2012. Rendez-vous est alors pris en janvier 2013 au Cap, pour un mois de rencontres et de sessions d’enregistrement dans les studios de Pioneer Unit. L’objectif : saisir un instantané musical de la scène underground sud-africaine, pour aboutir à la sortie d’un album et à une double tournée française dans les salles et les plus gros festivals de l’hexagone.